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roissante. Sous l’effet de ces divers facteurs, l’
humanité
du xxe siècle tend à éliminer les formes et les rites que nos ancêtr
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re analyse doit s’appliquer. Dans son ensemble, l’
humanité
du xxe siècle ne croit plus qu’au seul siècle présent, à l’ici-bas l
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se, parce que ses choix éthiques engagent toute l’
humanité
. L’homme, si Dieu n’existe pas, est entièrement délaissé, c’est-à-dir
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en toute liberté, mais qui engage par son choix l’
humanité
entière. C’est angoissant, en effet, car cet homme est responsable de
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ngage lui aussi par son choix tout le destin de l’
humanité
; il se sait lui aussi responsable, et pourtant il ne peut s’appuyer
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le a détruit toutes les éternelles illusions de l’
humanité
. Nous avons des raisons de craindre, au contraire, qu’elles ne trouve
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vir les desseins éternels de Dieu. Elle étend à l’
humanité
entière le bénéfice de la Promesse qu’il a reçue, cependant que son d
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ments : homo faber désigne une grande partie de l’
humanité
: ouvriers, artistes, savants, législateurs et artisans. Demandons-no
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élans révolutionnaires spasmodiques qui agitent l’
humanité
(comme en 1789 et en 1917), il faudrait que l’homme soit délivré de s
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e xxe siècle ouvrira l’ère des fédérations, ou l’
humanité
recommencera un purgatoire de mille ans. » Au fait, nous en sommes là
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x, individuels et collectifs, qui ont tourmenté l’
humanité
depuis des millénaires ; si donc le progrès, tel que l’Occident l’a c
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réussir ce suicide télécommandé des régions de l’
humanité
soumises à leur pouvoir total, à la fois hypnotique et policier. Leur