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être un jour assez prochain refusera de nourrir l’
humanité
qui l’exploite et qui l’empoisonne ; Terre si belle encore vue de l’e
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er et de vouloir une politique de l’homme et de l’
humanité
. C’est notre folle croissance qui affame le tiers-monde et cause les
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nt dénouées. Mais l’état de crise où est entrée l’
humanité
contemporaine est proprement universel, en ce sens que chaque crise l
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la croissance à tout prix. Au train où elle va, l’
humanité
va doubler, pour la première fois de toute l’histoire connue, en tren
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Les jeux sont faits Au train où elle va, l’
humanité
court vers sa perte programmée. Mais dans son écrasante majorité, ell
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er au long des trois prochaines décennies. Déjà l’
humanité
s’accroît de 70 millions par an ; avant la fin du siècle, ce sera dav
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on. On estime qu’aujourd’hui déjà, la moitié de l’
humanité
vit dans les villes. Si c’est quatre cinquièmes vers l’an 2000, tôt a
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rs la fin du prochain siècle, engloberait toute l’
humanité
et toute la Terre, inclus ses restes de campagnes et ses déserts, dan
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muler leurs effets nocifs sur l’alimentation de l’
humanité
future. Le mazout répandu sur « l’océan mondial » (comme disent les s
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eur tour les « bienfaits ». Ces trois quarts de l’
humanité
, qui en seront demain les cinq sixièmes, ne profiteront jamais de not
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eau, et l’on sait que Noé était un peu ivrogne. L’
humanité
nouvelle prend son départ sous ces auspices doublement dionysiaques.
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e la connaissance — l’éclair de Zeus — inaugure l’
humanité
technologique, curieuse de tout au point de passer outre aux interdit
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ue fait courir à la Terre vivante, donc aussi à l’
humanité
qui vit en symbiose avec elle, une croissance sans limites, qui n’est
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otre civilisation occidentale, et même de toute l’
humanité
, si elle accepte sans méfiance notre héritage technologique. Tout
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mme une bouée de sauvetage. Ce défi flottant de l’
humanité
technicienne au dieu de la mesure, cette anti-arche de Noé, heurte au
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tion étatisée, fussent-ils contraires à ceux de l’
humanité
et de la nature. Comme le fait voir à l’évidence le procédé de mesure
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a souveraineté, posées par l’intérêt général de l’
humanité
, il ne peut plus se prévaloir d’une souveraineté relative pour refuse
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instant à jouer leur prestige contre le sort de l’
humanité
? Le ministre français de l’Environnement déclarait en ouvrant l’un d
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tes : les dégradations du patrimoine naturel de l’
humanité
, et du patrimoine culturel des villes et des régions ; les maladies d
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ces de durer — qui sont inverses des chances de l’
humanité
. La force principale de l’État-nation vient sans nul doute possible d
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nter un mal cosmique ou une épidémie qui menace l’
humanité
. Mais je me sens pris d’un doute profond : ne s’agirait-il pas d’une
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ns de prévenir une catastrophe qui menace toute l’
humanité
. Je vois deux « responsables de la crise » en question — guerre du Vi
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’État-nation ne peut durer sans la guerre, mais l’
humanité
ne peut durer au-delà d’une prochaine guerre générale. Ce sera l’homm
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ouveau défi qui ne manquerait pas de confronter l’
humanité
, et qui résulterait du succès même de notre effort le plus constant ?
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que la nature ou nos passions nous imposaient, l’
humanité
ne pourra répondre que par une prise de position métaphysique. Elle p
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ne civilisation spirituelle et mondiale. 2. Si l’
Humanité
choisit au contraire l’aventure spirituelle, celle-ci sera sans doute
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affaire ? Dès les années 1950 de ce siècle, l’
humanité
est devenue capable de tuer la nature et de se suicider. Nous voilà c
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procède l’histoire, le devenir des cités et de l’
humanité
. L’avenir sensible au cœur De nombreux développements collectif
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n désir très sincère de faire du bien à la pauvre
humanité
: c’est même là le motif principal de la discipline forcenée qu’il im
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nnels et désastreux pour de très larges pans de l’
humanité
deviennent subitement ridicules, voire grotesques, si l’on passe au p
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e. Comment prévoir les effets d’une machine sur l’
humanité
quand on ignore à ce point ce qu’est l’homme ? Quand on le réduit à d
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à sa perte. Choisir la nation autarcique contre l’
humanité
en général — l’universel — mais aussi contre chaque homme en particul
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ne fera pas le moindre dégât. Le seul ennemi de l’
humanité
, c’est l’homme, seul à pouvoir mentir à sa nature, désobéir à son pro
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suffit de se laisser glisser. Mais la survie de l’
humanité
dans un environnement d’air libre suppose les images entrevues d’un b
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u sens d’habiter notre Terre, maison commune de l’
humanité
. Notre maison — qu’il s’agisse de famille, de milieu de vie, d’human
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— qu’il s’agisse de famille, de milieu de vie, d’
humanité
— le langage ne saurait mieux dire qu’il s’agit de nos propres affair
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plus changer d’intercesseurs — en régression de l’
humanité
universelle vers la tribu. Ce « changement des icônes » est bien conn
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nt de la nation vers l’Europe, mais encore vers l’
humanité
dans son ensemble et en même temps vers la personne130. J’ajouterai
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cessairement celui de la dernière génération de l’
humanité
. L’homme vit par groupes. Tout est couplé dans l’Univers, tout est pô
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e. Voici un siècle encore, quatre cinquièmes de l’
humanité
vivaient dans des communautés villageoises millénaires, où l’existenc
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t vers la fin de ce siècle quatre cinquièmes de l’
humanité
, les relations se dégradent avec une dramatique rapidité. Les modes,
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ont faibles, mais ce sont celles de la durée de l’
humanité
, inverses de celles de la durée de l’État-nation.) Au plan de l’écono
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uis l’Europe et ses réalités culturelles, enfin l’
Humanité
, unité biologique et spirituelle. Il n’y aura pas d’Europe unie en l’
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Jeunesse » est une expression de journalistes. L’
humanité
ne se reproduit pas tous les vingt-cinq ans et par tranches. À tout i
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? Ces phénomènes sont décisifs pour l’avenir de l’
humanité
, mais les énervés de Nanterre ne veulent pas en entendre parler : ils
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ar excellence va consister à prendre, au nom de l’
humanité
, un ensemble organique de décisions conservatoires de l’humain. Seul
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xclut de la « sphère du religieux » le drame de l’
humanité
menacée par ses propres erreurs et menaçant du même coup la nature ;
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es éthologistes à penser que se manifeste, dans l’
humanité
d’aujourd’hui, une tendance suicidaire assez puissante. Alors, nous —