1
ue presque solennelle mais qui sans cesse frôle l’
humour
, et parfois tourne en sournoise malice. On ne peut dire précisément d
2
ment et gagne en somme notre complicité. Elle a l’
humour
discret, sensible, qui convient à la confession d’un sentiment ni par
3
lut pas une éloquence qu’on dirait jacobine si un
humour
très personnel ne venait sans cesse la rabattre au concret. On peut r
4
éternité, le sérieux humain apparaît affecté d’un
humour
désespéré. La dialectique de Kierkegaard consiste alors à déconsidére
5
homme et des limites de sa grandeur, un sens de l’
humour
du destin, une vraie poésie de l’Histoire, libératrice et excitante p
6
e », de musique russe, d’avant-garde ascétique, d’
humour
vaudois et de cosmopolitisme non pas à la manière de Genève mais à ce
7
um harmonique de Ch.-A. Cingria et Stravinsky : l’
humour
de l’authentique, si caractéristique du cercle ramuzien, s’y traduit