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ns le Midi au xiie siècle, sous l’influence de l’
hérésie
cathare ou albigeoise. Or il est établi, de nos jours, que les cathar
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» que celui qui se marie, même chrétiennement. L’
hérésie
manichéenne qui est à l’origine de la cortezia du Midi s’opposait au
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le du mariage au conflit de l’orthodoxie et d’une
hérésie
médiévale. Car cette dernière, comme telle, n’existe plus ; et si l’o
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sur une foi vivante, et dont l’autre dérive d’une
hérésie
dont l’expression « essentiellement lyrique » nous parvient totalemen
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d’amour : celle au moins de l’orthodoxie contre l’
hérésie
primitive, mais encore plus agressive, sans doute, puisqu’il n’est pl
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isme qui a fait naître la passion, mais c’est une
hérésie
d’origine orientale. Cette hérésie s’est répandue d’abord dans les co
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mais c’est une hérésie d’origine orientale. Cette
hérésie
s’est répandue d’abord dans les contrées les moins christianisées, pr
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c nos plus vieilles croyances, et du conflit de l’
hérésie
qui en résulta avec l’orthodoxie chrétienne. Première correction d’im
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xiiie siècles, et par l’impulsion décisive de l’
hérésie
méridionale, il apparaît que c’est du Proche-Orient et de l’Iran, sou
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roche-Orient et de l’Iran, sources certaines de l’
hérésie
, que nous sont venues nos « mortelles » croyances. Mais dira-t-on, ce