1 s d’où provient donc cette manie ? D’une « humeur idéalisante  » ? Lisons plutôt ce cantique de Peire de Rogiers : Âpre tourment je

2 u à peu, contamina par le moyen d’une littérature idéalisante , l’élite de la société médiévale. D’où la réaction « réaliste » qui n

3 us prétexte de détruire l’artificiel — rhétorique idéalisante , éthique et mystique du « parfait » — l’on prétend s’enfoncer dans le

4 s d’où provient donc cette manie ? D’une « humeur idéalisante  » ? Lisons plutôt ce cantique de Peire de Rogiers : Âpre tourment je

5 u à peu, contamina par le moyen d’une littérature idéalisante , l’élite de la société médiévale. D’où la réaction « réaliste » qui n

6 us prétexte de détruire l’artificiel — rhétorique idéalisante , éthique et mystique du « parfait » — l’on prétend s’enfoncer dans le

7 s d’où provient donc cette manie ? D’une « humeur idéalisante  » ? Lisons plutôt ce cantique de Peire de Rogiers : Âpre tourment je

8 u à peu, contamina par le moyen d’une littérature idéalisante l’élite de la société médiévale. D’où la réaction « réaliste » qui ne

9 us prétexte de détruire l’artificiel — rhétorique idéalisante , éthique et mystique du « parfait » — l’on prétend s’enfoncer dans le

10 ne de l’amour est résolument positive, édifiante, idéalisante , on aurait tort d’en inférer que les Grecs n’ont pas connu le couple