1
r vaincu. À force d’avoir ridiculisé et refoulé l’
idée
de violence physique, ils sont empoisonnés jusque dans leurs pensées
2
é réelle, ce besoin de contrôler la naissance des
idées
dangereuses, ce moralisme qui préfère la stérilité au risque. Les pet
3
’œuvre d’Arnaud Dandieu apporte non seulement des
idées
neuves — une nouvelle position des problèmes — mais aussi quelques so
4
ns fort importantes. Indiquons simplement, ici, l’
idée
de ce service industriel, destiné selon les précisions de Dandieu, à
5
« Le malaise révolutionnaire et la confusion des
idées
en sont arrivés à un tel point que les deux mots ont l’air bien souve
6
intitulé Échange et Crédit bouleverse toutes les
idées
traditionnelles sur la question — et en passant, l’un des fondements
7
, le caractère « sacré » que revêt à leurs yeux l’
idée
de patrie préalablement confondue avec celle de l’État, en témoignent
8
isme et matérialisme dialectique. L’influence des
idées
« ordre nouveau » est beaucoup plus considérable qu’on le croirait à
9
on sera peut-être décisive l’année prochaine) ; l’
idée
de la « mission personnaliste de la France », que les centristes et l
10
mystique des masses russe ou allemande ; enfin l’
idée
du service civil de travail, qui pourrait bien devenir le cheval de b
11
nde des philosophes, la forme pure est celle de l’
idée
platonicienne. Mais dans le monde de l’incarnation — le monde chrétie
12
u’il nous faut attacher nos yeux non plus sur les
idées
en tant que telles, mais bien sur les idées en tant qu’agies, — sur l
13
r les idées en tant que telles, mais bien sur les
idées
en tant qu’agies, — sur les formes. Second principe : Une forme ne pe
14
Plotin et Platon, c’est-à-dire jusqu’au monde des
Idées
. C’était perdre de vue la réalité spécifique du monde de l’Incarnatio
15
quels sont les plus illustres physionomistes des
idées
? Goethe et Nietzsche, ces deux lointains et quelque peu méfiants adm