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ite qu’elle soit, parce qu’elle aurait une grande
idée
. La Suisse, si petite qu’elle soit, n’aurait pas seulement un rôle de
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ale dans un super-État européen. Cette deuxième «
idée
» du fédéralisme, inverse de la première mais non moins fausse, est l
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d’un volapük universel. Mais à vrai dire, c’est l’
idée
même d’un pacte non dénonçable au gré du Prince et des seuls intérêts
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uant à Nelson Rockefeller, il écrit : Pour moi, l’
idée
fédéraliste suppose une conception d’ensemble de la vie politique sel
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eller, comme pour Trudeau, comme pour Proudhon, l’
idée
fédéraliste, fondamentalement pluraliste… favorise le non-conformisme
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er la paix de l’Europe ! Il me semble ainsi que l’
idée
européenne ait trouvé son climat autant que son modèle en Suisse. L’a
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utant que son modèle en Suisse. L’anthologie de l’
idée
européenne réserve d’ailleurs une place de choix à Rousseau, Constant
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pensez-vous de la réserve mise par la Suisse à l’
idée
de l’intégration européenne, qui tient surtout à l’obstacle de sa neu
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ères conséquences, découvre ainsi en même temps l’
idée
de l’atome, et celle de l’individu, d’où les excès de l’individualism
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st qu’à l’inverse du marxisme, vous attribuez à l’
idée
, à la culture un rôle déterminant, premier dans le devenir social. L’
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préjugés, où l’on décèle l’origine de toutes les
idées
gaullistes ; le fameux cliché d’une Europe « de Gibraltar à l’Oural »
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à cette occasion, montre qu’il y a progrès, que l’
idée
européenne est admise, qu’elle fait son chemin. Des enquêtes récentes
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% des partisans de l’Europe a moins de 35 ans. L’
idée
européenne joue un grand rôle au niveau de la jeunesse. Ne l’a-t-on p
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t les communes. Mai 68 a vu reparaître beaucoup d’
idées
qui avaient déjà été défendues par notre mouvement l’Ordre nouveau. O
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it déjà le dire en 1949, quand nous avons lancé l’
idée
du CERN, puisque les Américains avaient presque tout fait dans ce dom
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au prix de la destruction de la nature ? C’est l’
idée
matérialiste, capitaliste : pourvu que le PNB augmente, qu’il n’y ait
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ité de civilisations comme la Grèce dominée par l’
idée
de nature, a toujours ressenti un certain malaise devant le gigantism
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t a dressé une synthèse en forme de plaidoyer des
idées
et des projets pour lesquels il a toujours combattu. L’entreprise eur
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Europe à l’heure de ses choix II : Se rallier à l’
idée
suisse (22 novembre 1970)k Dans cette optique d’une Europe fédéral
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l’histoire d’un peuple heureux , j’avais lancé l’
idée
de transformer la Suisse en district fédéral de l’Europe. Ce qui réso
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truction européenne. Ce serait le triomphe de son
Idée
, au sens platonicien du terme. Pouvez-vous préciser comment vous conc
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de ce que vous appelez l’adhésion de l’Europe à l’
Idée
suisse ? Quand je parle de l’adhésion de l’Europe à l’Idée suisse, j’
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se ? Quand je parle de l’adhésion de l’Europe à l’
Idée
suisse, j’entends par « Idée suisse » le véritable fédéralisme, qui n
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sion de l’Europe à l’Idée suisse, j’entends par «
Idée
suisse » le véritable fédéralisme, qui n’est d’ailleurs pas toujours
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la Suisse, vous voyez qu’on n’y a jamais eu cette
idée
folle de faire coïncider l’économie et la langue, et nous avons toujo
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Europe à l’heure de ses choix II : Se rallier à l’
idée
suisse », Tribune de Lausanne-Le Matin, n° 326, 22 novembre 1970, p.
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pe unie ? Le Cheminement des esprits donne une
idée
du travail du CEC. Les activités du Centre se sont toujours portées s
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encontrer en terrain neutre. Estimez-vous que vos
idées
sur la fédération de l’Europe ont fait du chemin dans les esprits ces
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ous sommes très mélangés en Suisse romande, cette
idée
que la femme n’a pas sa place dans les affaires publiques qui doivent
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parce que notre civilisation est fondée sur cette
idée
de la famille, de la femme qui est à peu près l’égale de l’homme, mor
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sion d’une conférence qu’il donnait en 1931 sur l’
idée
de nation, je recopie ces lignes5 : Plaçons-nous sur le plan de la t
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usion des deux, l’uniformisation. Si une certaine
idée
que nous avons de l’amour-passion nous conditionne au point de n’être
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tres différents, les convenances de caractères, d’
idées
, d’éducation. Tout cela sans retomber dans les mariages arrangés de l
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tein, à Princeton, il m’a dit : « Vous n’avez pas
idée
de la transformation intellectuelle de l’Amérique sous l’impact des E
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mérique qu’a germé en quelques-uns d’entre nous l’
idée
de combattre ce nationalisme fauteur de guerres ; et pas seulement Hi
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lement Hitler, mais ce qui l’avait permis, donc l’
idée
de « faire l’Europe ». Là-bas, nous nous retrouvions toujours entre E
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par vos antipodes : l’Asie du Sud-Est n’a qu’une
idée
, c’est d’imiter la Chine maoïste, qui, elle, voudrait être aussi comm
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. Vous semblez parfois le croire à cause de cette
idée
de la ‟majesté de l’État” qui vous vient des rois de France. Eh bien,
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ce qui concerne l’Europe ? Les statistiques sur l’
idée
européenne me permettent de rappeler cette phrase un peu cynique de L
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a réalité sur ce que quelques idéologues ont eu l’
idée
d’en faire. Pas une seule de nos révolutions n’a réussi. Dans ce sens
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ebesque, Comment peut-on être Breton ?, donne une
idée
émouvante des possibilités de renouvellement de l’histoire interprété
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s mots. Jamais, pas un instant, nous n’avons eu l’
idée
de parler du sens profond de la pièce, ni de la religion en général,
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chance de les connaître) et le plus près de leur
idée
d’une carrière intéressante, au sens financier de l’adjectif. Aujourd
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oyen des produits transformés de ce pillage. Et l’
idée
se fait jour en lui que ce n’est plus aux seuls « besoins de l’économ
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ints de chauvinisme vociférant —, voilà une belle
idée
, que j’accepte d’enthousiasme. C’était en 1954. Après deux ans d’étud
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t une grande culture commune, bien antérieure à l’
idée
même d’État-nation. Mais, me direz-vous, le mot « nation » désignait,
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drop off) ne donne qu’une faible et trop aimable
idée
. 4. L’Européen romanisé, organisé, étatisé depuis des siècles, ne peu
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ne. Vous vous êtes battu pour faire partager vos
idées
à propos du fédéralisme ? Dans quelles circonstances ? Dès mon arrivé
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l et utiliser son énorme popularité pour lancer l’
idée
de l’Europe. Nous avons, si je puis dire, été « refaits ». Parce que
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avant tout, à sa manière, un Européen. Sa grande
idée
: le fédéralisme. Qu’il définit ainsi : “S’unir pour permettre aux au
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que cet État-nation a toujours existé, telles une
Idée
platonicienne ou une Essence métaphysique. Ainsi des neuf nations (ou
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de vision européen : telle a été dès l’origine l’
idée
directrice de la Campagne d’éducation civique européenne. Et quant à
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s d’enseignants qui, à leur tour, propageraient l’
idée
civique européenne parmi leurs collègues, et par ce procédé de démult
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asilia. Voyez grand, transformez le monde à votre
idée
et, si vous tenez à votre démesure, exportez-la, mais ne touchez pas
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al est à la fois ce qui concerne la foule (dont l’
idée
est présente dans polis par poly, beaucoup) et ce qui fait de la foul
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que nous visons. Car toute politique implique une
idée
de l’homme, et par suite une vision des communautés qui la traduisent
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nts… Les hommes n’ont pas tant changé11. » D’où l’
idée
du « droit de vivre dans un environnement décent », formulée par le m
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passer les « ferments révolutionnaires » et les «
idées
subversives » dans les seules élites dirigeantes mais non plus posséd
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en faisant un peu de bruit. Nous retrouvons ici l’
idée
des deux classes — les actifs et les passifs — à quoi nous conduisaie
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mme. Un x ou un y dont nous n’avons encore aucune
idée
et qui intervient — peut-être — dans les relations interpersonnelles
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es formes, structures et dimensions dépendent des
idées
qu’on se fait de l’homme pour qui maisons et villes sont bâties, ou a
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bien d’autres surgiront, dont nous n’avons aucune
idée
. Kierkegaard et Nietzsche ont créé, au xixe siècle, la fonction de l
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s produits de la pensée, devait nous conduire à l’
idée
d’interdisciplinarité. Qui veut dire quoi ? Beaucoup de choses vagues
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e (1er juillet 1973)al Dire que j’approuve les
idées
de ces douze articlesam serait faible : je m’y reconnais. Il s’agirai
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que demande le journal. Je voudrais souligner une
idée
dominante : que les structures d’une cité peuvent interdire la vie co
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t une grande culture commune, bien antérieure à l’
idée
même d’État-nation. Mais, dira-t-on, le mot « nation » désignait, dès
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çais et je suis complètement Suisse. Est-ce que l’
idée
de l’unité de l’Europe vous vient de vos ancêtres ? Ce n’est pas une
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ope vous vient de vos ancêtres ? Ce n’est pas une
idée
suisse. Le Suisse est cosmopolite. L’idée est au contraire très suiss
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pas une idée suisse. Le Suisse est cosmopolite. L’
idée
est au contraire très suisse. Les Suisses étaient destinés à être des
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de plus ? Ça n’a pas de sens pour eux. C’est une
idée
de technocrate, de ministre ou de fonctionnaire qui ne raisonne qu’en
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sser citoyens et citoyennes d’une région, c’est l’
idée
de prendre en main leurs destinées, c’est la volonté de recouvrer leu
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omie, et de sauvegarder leur mode de vie. C’est l’
idée
de la région elle-même et sa réalité vécue, non pas les bobards du «
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c le chevalier. Et l’on recule épouvanté devant l’
idée
d’Iseut devenant Madame Tristan ! C’est pourtant bien à cela que nous