1 ntasme de l’ouvrier3. Tout mon livre repose sur l’ idée simple de l’incarnation de la pensée, c’est-à-dire du passage de l’ac

2 e. […] Seule, détient le pouvoir de s’incarner, l’ idée qui crée un risque dans ma vie. Ce risque atteste l’existence d’un co

3 . En vérité, c’est le libéralisme qui a répandu l’ idée que l’engagement ne peut être qu’un esclavage. La liberté réelle n’a

4 ns. Voici le passage : Préoccupé par la charge d’ idées philosophiques, politiques et sociales que la poésie de l’avenir aura

5 . Penser avec les mains, réédition dans la coll. Idées , Gallimard, Paris, 1972. 3. Cf. J.-P. Sartre, Situations II, « Qu’es

6 r une crise non seulement de la culture mais de l’ idée même de culture, sur le divorce entre art et société, sur l’impuissan

7 ent des revues que pas un ouvrier n’aura jamais l’ idée ou l’occasion d’ouvrir, pour ne rien dire de sa capacité de les compr

8  l’expérience anarchiste des Hurons », voire de l’ idée que se fit l’Antiquité du peuple des Scythes, connu (nous disent Boas

9 , « se détourne de l’Europe tout en reprenant ses idées et ses créations. Il emprunte sa philosophie de l’efficacité et sa fo

10 hance de se reproduire à l’échelle européenne : l’ idée même en paraît plus grotesque encore qu’impossible. (à suivre) 10.

11 éférendum sur les régions. C’est sur cette grande idée nouvelle qu’il a choisi de livrer la bataille décisive de son règne.

12 ladin de l’Europe des nations et d’une « certaine idée de la France » devenait aux yeux de l’Histoire le précurseur de l’ère

13 dépit du Discours de Bayeux, 16 juin 1946, où les idées de participation des « forces socioprofessionnelles à la décision de

14 nes, de Rome et de Jérusalem révélant une sorte d’ idée platonicienne de l’Europe, comme on le répète après Paul Valéry, mais

15 e réaliser (il s’agit de réalité objective) cette idée de fédération, qui doit s’étendre progressivement à tous les États et

16 ’Ernest Renan et de Dostoïevski donnent une juste idée de la profondeur et de l’universalité de l’idée européenne qu’ils ill

17 e idée de la profondeur et de l’universalité de l’ idée européenne qu’ils illustrent — en vain d’ailleurs, car déjà l’État na

18 diévale « correspond, dans son exigence même, à l’ idée d’un studium generale, d’une totalisation des connaissances qui débou

19 écrit par Leibniz, d’une Académie de l’Europe ? L’ idée vient d’en être reprise, du côté de Genève comme on pouvait s’y atten

20 culture. Car elle savait que « la circulation des idées est, de tous les genres de commerce, celui dont les avantages sont le

21 s carrés ne puissent plus être bien réguliers). L’ idée générale est de détruire le tissu vivant des attachements locaux — pa

22 écrit cinquante ans plus tôt. Podiebrad reprend l’ idée de Dubois et en précise les conséquences politiques dans un gros ouvr

23 Podiebrad. Deux siècles plus tard, exactement, l’ idée sera reprise, élargie aux dimensions d’un projet mystique, plus encor

24 e l’œuvre proprement pédagogique de Comenius : L’ idée centrale est sans doute celle de la nature formatrice qui, en se refl

25 : la société humaine est une société d’éducation, idée qui ne trouvera son expression positive qu’au cours du xixe siècle,

26 philosophie ; d’où l’ambition déconcertante de l’ idée « pansophique » : « enseigner tout à tous et à tous les points de vue

27 e. Citations III, IV et V Pour accréditer l’ idée particulièrement aberrante d’une collusion entre le personnalisme, l’

28 iste et parafasciste »63. On a bien entendu : les idées d’ Esprit et de L’Ordre nouveau , c’est-à-dire de Mounier, de Rober

29 l’imputer à notre action directe. Merci.) Quelles idées  ? Pourrait-il les rappeler ? La primauté de l’esprit sur les mythes c

30 revue de Gramsci, Ordine Nuovo ? Et comment nos idées auraient-elles « accédé au pouvoir » à Vichy ? Un politicien combinar

31 omme l’écrit noir sur blanc Raymond Aron, que nos idées personnalistes aient « accédé au pouvoir » à Vichy et cela « à la fav

32 avons tous été condamnés à de la prison pour des idées dont L’Express nous apprend qu’elles étaient au pouvoir à Vichy, donc

33 unes français et allemands, s’ils dépouillent les idées reçues, s’ils consentent à être eux-mêmes, je suis bien sûr qu’ils se

34 spoir que leur génération « au sein de laquelle l’ idée européenne ne se heurte pas trop à l’idée nationale, qu’elle transcen

35 uelle l’idée européenne ne se heurte pas trop à l’ idée nationale, qu’elle transcende sans peine », réalise l’Europe « que no

36 e aux députés européens. La reine a insisté sur l’ idée que les solutions communautaires doivent primer sur les options étroi

37 ites ni règles, dont nos ancêtres n’avaient pas l’ idée . » (p. 216) « Quand on disait alors souverain, on entendait simplemen

38 se dissolvait dans la société, alors que toute l’ idée de grandeur exprimée dans l’idéologie, la littérature et l’art, ne s’

39 a m’a frappé d’autant plus que j’avais eu la même idée en même temps que lui, sans que nous ayons eu le moindre échange. Je

40 trois ans exactement après la fin de la guerre, l’ idée européenne a pris forme, c’était au congrès de La Haye. J’y étais et

41 on étendue à la libre circulation des hommes, des idées et des biens. 2. Nous voulons une Charte des droits de l’homme garant

42 s, délégué grec : « Je salue en vous celui dont l’ idée se réalise ici ! » (Ce qui est légèrement excessif : je ne suis de lo

43 ne suis de loin pas le seul à avoir préconisé « l’ idée  », laquelle est encore loin de se réaliser…) En fait, il ne va rien s

44 pe, avec lesquels j’ai déjà eu quelques contacts. Idée générale : organiser un « Serment du Jeu de Paume » européen, par leq

45 es moyens sérieux tente de lancer et de pousser l’ idée d’un serment du Jeu de Paume. Nous ne sommes certes rien moins qu’ass

46 iste français, qui me demande de le récrire à mon idée . Le mercredi soir, Georges Rebattet (le Colonel Cheval de la Résistan

47 int de ce qu’il appelle la Marche sur Strasbourg, idée qui lui est venue et que nous discutons en déjeunant avec Brugmans et

48 de tout âge — qui « marchent » pour rien, pour l’ idée … Je me trompe ? Je ne demande qu’à me tromper. 4. L’initiative pol

49 Conférence des ministres de la Culture rejetait l’ idée d’une Charte (pourtant proposée par elle dans sa session de 1978) et

50 t les progrès accomplis dans toute l’Europe par l’ idée régionaliste, enfin reconnue en Italie, en Belgique, en Grande-Bretag

51 rès vite fondé des groupes de pensée autour d’une idée de l’homme, en tant que personne, opposée à l’individu, ce que Marx a

52 roite, mais en avant, devant les problèmes ». Nos idées ont joué un certain rôle dans le développement politique français, à

53 tique, à ce moment-là, à la préciser un peu sur l’ idée de la personne, par opposition à l’individu, d’homme à la fois libre

54 mal de domaines de la politique et de la vie des idées politiques en Europe, après la tragédie de la guerre. Nous étions en

55 l’aise, car je pouvais commencer à appliquer mes idées sur le vif. J’ai fondé en même temps avec un ami de Zurich, Theophil

56 ésultat. » Je commençais un peu à débrouiller mes idées là-dessus, et en trois mois j’ai bouclé le livre qui a paru en 1939,

57 e européen de la culture : un centre initiateur d’ idées neuves, d’activités concrètes dans la grande perspective d’une fédéra

58 bénéfice de l’Europe unie. Cela a été la première idée de ce qui est devenu le CERN, qui s’est fait depuis lors tout autour

59 beaucoup de ministres viennent maintenant à cette idée des valeurs et des finalités communes de la culture. Pour être plus c

60 arvenir il faut donner aux hommes d’aujourd’hui l’ idée que leur sort dépend d’eux. Il faut dire aux hommes : « Vous devez ch

61 ut le reconnaître. J’en suis venu à résumer cette idée dans mon dernier livre, à l’avant-dernière page je crois, en une seul