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ée.) Penser n’est pas non plus s’ingénier sur des
idées
et des combinaisons d’idées mais créer de tout son être spirituel des
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us s’ingénier sur des idées et des combinaisons d’
idées
mais créer de tout son être spirituel des faits nouveaux et vrais, da
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agressif qu’il oppose aux dévots : « S’occuper d’
idées
relatives à l’immortalité, poursuivit Goethe, cela convient aux gens
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poque romantique (Nietzsche plus chrétien que son
idée
du christianisme). Plus goethéenne aussi. Mais gardons-nous de tirer
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r est sans précédent. Ce n’est plus de conflits d’
idées
qu’il s’agit, ni même de conflits d’intérêts. Mais pour nous, entrés
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is je. À la question « Prenez-vous au sérieux vos
idées
, y croyez-vous ? », les hommes de ce temps n’aiment pas répondre, car
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erche. Ce qu’il faut pour légitimer un système d’
idées
en elles-mêmes justes et opportunes (comme celles, je le crois, de L’
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t dans le fond de leur être. Il faut derrière ces
idées
une masse volontaire, une pesante contrainte de foi, une pureté terri
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plus juste aussi pour Saint-Évremond, expose ses
idées
sur la société. On y verra comment il se peut faire que les tyrannies
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e tous le moins ramuzien : il s’agit cette fois d’
idées
, et même d’idées générales, ce qui est assez paradoxal dans une telle
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amuzien : il s’agit cette fois d’idées, et même d’
idées
générales, ce qui est assez paradoxal dans une telle œuvre. Le sujet
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isme assez forte déjà pour que la masse accepte l’
idée
d’une dictature… « antifasciste ». Tout cela se joue sur des mots, et
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esprit vitaliste de Paracelse, brève synthèse des
idées
les plus neuves, qui sont aussi les plus antiques, sur la nature uniq
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une scie, un cheval ; avec les sentiments et les
idées
des autres, et leurs histoires ; avec le train banal des embêtements
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Bombaste de Hohenheim, ce dont il n’eut jamais l’
idée
de se cacher. – L’érudition considérable de M. Chuzeville me paraît p
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ales, de même que la digestion, si vous voulez. L’
idée
même de s’en vanter indique un trouble. — Enfin, voilà les hitlériens
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bien informé, fais-toi alors le porte-parole des
idées
, des passions qui sont dans l’air, avec l’enthousiasme d’une éloquenc
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rvir de tel son qu’il lui plaît pour exprimer ses
idées
, pourvu qu’il en avertisse. » Cette phrase de la Logique de Port-Roya
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Une
idée
de Law (janvier 1937)ab C’est dans les Œuvres de Law qu’on trouve
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t non pas je ne sais quels scandales… ab. « Une
idée
de Law », La Nouvelle Revue française, Paris, n° 280, janvier 1937, p
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u’ils y mettront obstacle. (Pour les bourgeois, l’
idée
de propriété est liée à l’idée d’héritage. Par quelle folie pensent-i
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r les bourgeois, l’idée de propriété est liée à l’
idée
d’héritage. Par quelle folie pensent-ils pouvoir « hériter » des bien
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censés croire actuel, dans la littérature ou les
idées
. C’est cela qui paie, et qui m’ennuie. Après quoi, je pourrai travail
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prendre un beau jour que je m’intéresse à leurs «
idées
», à leur situation, à leurs problèmes, — et que j’en fais parfois la
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éoccupations. Ce n’était pas cette vacance où les
idées
et sentiments changent de climat. Le loisir n’est pas simplement la c
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acle du vocabulaire, d’une certaine technique des
idées
, etc., mais encore ils ne comprendraient pas même de quoi il s’agit q
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présence physique d’un homme, confrontée avec les
idées
que j’avais en tête. Il y a probablement une fatalité interne dans no
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is tout juste le nom. Que je n’aurais jamais eu l’
idée
de solliciter. Et qui m’est octroyé pour un petit livre paru sans bru
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le prochaine sur le continent) ils n’auraient pas
idée
de ça, au contraire, ils sont tout fiers de venir à la banque. Ici, o
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car alors je dois vous créer moi-même vous et vos
idées
. » ak. « Victoire à Waterloo, par Robert Aron (Albin Michel) », La N
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cer sur presque tous les hommes, n’évoque pas une
idée
de santé. Mais dans cette furie insolente, dans cette jactance batail
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r le silence ou les lâchetés de l’adversaire. Les
idées
se retournent au caprice de l’esprit : il n’y a plus de vérité qui ti
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re. Personne n’a parlé. Dieu est mort ! De chaque
idée
, de chaque croyance, de chaque valeur, Nietzsche a voulu violer le se
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, que Nietzsche a rencontré soudain la fascinante
idée
du Retour éternel. Devant le roc de Sils-Maria on le voit interrompre
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le règlement final, le Jugement dernier — d’où l’
idée
du Retour éternel. ⁂ Comme je parlais de ces choses à une amie : « J’
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éfini séparément — style, sujets abordés, rythme,
idées
ou lyrisme —, mais bien plutôt c’est la complexité secrètement signif
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ans l’espace et le temps, voilà qui donnerait une
idée
de l’espèce d’intérêt que l’on prend à lire le Journal d’André Gide.
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mon journal, je crains qu’il ne donne de moi une
idée
assez fausse. Je ne l’ai point tenu durant les longues périodes d’équ
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rvoit lui-même. Et cependant, « donner de soi une
idée
fausse », c’est bien ce que devait éviter Gide, plus jalousement qu’a
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r une certaine défiance d’artiste à l’égard des «
idées
» en soi, et de l’information méthodique. C’est par là que je sens le
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s s’est distingué par sa méfiance à l’égard des «
idées
». Son particularisme approfondi rejoint l’universel par les racines.
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hospitalité. Saint Paul reste sa bête noire. Et l’
idée
même d’orthodoxie. Il nie vivement que le terme d’orthodoxie protesta
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que j’aimais bien. » Vite lassé par les débats d’
idées
, il semble répugner à toute pensée qui par le style d’abord ne l’ait
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tés. (L’Orient les tient pour illusoires.) Ôtez l’
idée
de la personne, déduite des grandes définitions trinitaires et christ
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e aujourd’hui encore dans les masses paysannes, l’
idée
d’une évolution imprévisible et progressive est généralement éliminée
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les premiers chrétiens, ce qui rend supportable l’
idée
d’un temps vidé de rythmes et de mythes, c’est la croyance à la Fin i
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n fait — mais je ne pense pas en droit — contre l’
idée
occidentale de l’homme. L’importance apparente des collectivités, des
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là de tout ce que notre esprit peut se figurer, l’
idée
d’évolution balaie nos repères et nous emporte sans espoir à l’aventu
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simple messager transmettant les ordres, ni de l’
idée
courante de l’Ange gardien », mais de ceci : « que la Forme sous laqu
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res de leurs contrées ; c’est bien plutôt à notre
idée
de la personne qu’ils opposent leur idée du non-moi. Le vrai malenten
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à notre idée de la personne qu’ils opposent leur
idée
du non-moi. Le vrai malentendu se serait-il instauré entre eux et nou
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e mais du monde, c’est son action qui configure l’
idée
du moi que nous nous faisons, et cette idée du moi révèle l’amour, co
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ure l’idée du moi que nous nous faisons, et cette
idée
du moi révèle l’amour, comme la structure de l’atome traduit certaine
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omme la non-existence du moi). Illustrons cela. L’
idée
de vocation personnelle accomplie aux dépens de l’individu est loin d
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Soi qui dormira dans un sommeil sans rêves — leur
idée
du bonheur — entre deux Créations totalement insensées. Si les saints
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onne” ; ce sont nos instincts, nos tendances, nos
idées
, nos croyances, nos désirs, etc. Chacun de ceux-ci se trouve être, de