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t et le clerc-qui-ne-trahit-pas, dans le ciel des
Idées
, dernier asile pour les démissionnaires d’une Démocratie fatiguée ! Q
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pirituel », nous n’entendons pas le pouvoir des «
idées
», mais bien celui de la personne, de l’acte qui la pose et qui l’opp
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e gauche qui défendent ce qu’ils croient être des
idées
) ne remplit pas ces deux missions, mais il les trahit, transportant,
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ment maladive. L’homme sain ne s’excite pas sur l’
idée
de sécurité. Il demande un principe de grandeur, ou simplement quelqu
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besoins, à ses désirs réels, et s’hypnotisa sur l’
idée
du standing de vie, défini par comparaison avec « les autres », déter
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eilles ? » J’ai vu de jeunes sympathisants de nos
idées
déconcertés par cette attaque. C’est à leur intention que je veux pré
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ement unis par cette communauté d’affections et d’
idées
qui forme ce qu’on appelle l’esprit d’une nation, c’est-à-dire la nat
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de la Rocque se vante de n’en avoir aucune. Pas d’
idées
, pas de plan, pas de programme : c’est ce que les radicaux ont toujou
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volonté sans volonté, se lançant, par amour d’une
idée
, dans des complots dont ils ignorent le vrai but, dans une action de
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pas à distinguer de volonté, de passion nette, d’
idée
maîtresse, que pourra-t-il résulter d’autre qu’une confusion indescri
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ie de l’opinion, ou de certains groupes, vers des
idées
qui se rapprochent de plus en plus des nôtres, telles que nous les av
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titutions Ordre nouveau. Enfin, un peu partout, l’
idée
qu’il faut organiser les libertés se fait jour, et cesse d’apparaître
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ous n’enregistrons pour le moment qu’un recul des
idées
que nous défendons. Quelles catastrophes faudra-t-il donc pour détrui
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e ; nous aussi, nous avons eu, à notre heure, une
idée
nationale de l’héroïsme. Pas seulement sous Napoléon. Justement pas s
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ncé par suivre aveuglément vos ordres avant que l’
idée
vous vien[ne] de lui demander les siens. Mais le Führer a prévu l’obj
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’autorité ? (mai 1936)t 1. Personne n’aurait l’
idée
de poser cette question dans un temps où l’autorité existerait. Mais
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épublicaine conservatrice, « doctrine » radicale,
idée
socialiste, mots d’ordre communistes… En marge de l’action directe, a
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us les étages les moyens aux fins, les outils à l’
idée
directrice, les mécanismes matériels aux œuvres spirituelles, enfin l
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ce les phases d’une décadence catastrophique de l’
idée
de Progrès aux débuts du xxe siècle. Il analyse quelques-unes de ses
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ives pratiques que nous réserve un renouveau de l’
idée
de Progrès selon son cœur, nous tombons dans le confusionnisme délibé
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siste essentiellement dans l’application de trois
idées
élémentaires : « 1° Tenir devant eux une prune pour les faire grimper
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rnissent des bases idéologiques à la lutte pour l’
idée
nationale. Au fond le problème n’est pas si différent de celui qui se
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ouloir entrer ici dans l’étude détaillée de cette
idée
de commune mesure, pour laquelle nous renvoyons à l’ouvrage déjà cité
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. En vérité, c’est le libéralisme qui a répandu l’
idée
que l’engagement ne peut être qu’un esclavage. La liberté réelle n’a