1 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
1 pleins, nous dit Dürrer. Nicolas y personnifie l’ idée confédérale, créatrice de la Suisse. Autour de lui, gravitent des fig
2 las, et précisément au théâtre ? C’est dans cette idée que j’ai conçu, en septembre dernier, la légende dramatique qui sera
2 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable V : Le tentateur (12 novembre 1943)
3 e ne fut pas tentée par le désir de nuire, mais l’ idée de se diviniser, ce qui paraît en somme une excellente idée. Par malh
4 diviniser, ce qui paraît en somme une excellente idée . Par malheur, pour quelque raison littéralement fondamentale, Dieu n’
5 ttéralement fondamentale, Dieu n’aimait pas cette idée -là et l’excluait de sa réalité. Manger cette pomme et se diviniser de
3 1949, La Vie protestante, articles (1938–1978). Printemps de l’Europe (29 avril 1949)
6 erre. Mais les Russes ont aussi leur vision, leur idée de l’unité du monde sous les auspices du Kominform et de l’épuration
4 1969, La Vie protestante, articles (1938–1978). La lune, ce n’est pas le paradis (1er août 1969)
7 de la Terre. Plus encore, cela me ramène à cette idée que la véritable aventure humaine est à l’intérieur de chacun de nous
5 1978, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Bof ! disent les jeunes, pourquoi ? » (1er décembre 1978)
8 e club de Rome ! J’ai repris la discussion de ces idées anticroissance avec les premiers personnalistes que j’ai rencontrés à
9 us trouverez facilement les amorces de toutes les idées de mon dernier livre. Nous étions une génération — qui ne disait pas
10 ls à l’utiliser couramment en France). Toutes les idées fédéralistes, les idées d’autogestion, de région, de modération de la
11 nt en France). Toutes les idées fédéralistes, les idées d’autogestion, de région, de modération de la croissance, d’équilibre
12 isés, mais j’avais, je pense, derrière la tête, l’ idée de leur opposer l’État fédératif, le modèle suisse. J’avoue qu’à ce m
13 is la puissance, la richesse, et être chrétien. L’ idée de la croissance illimitée comme bien suprême de l’humanité est une i
14 llimitée comme bien suprême de l’humanité est une idée fondamentalement antichrétienne. Refuser la puissance ne veut pas dir