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faits qu’on n’a pas à choisir, penchant vers des
idées
que la logique n’est pas seule à ordonner. Le mieux était de conserve
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et cette morale est délibérément supprimée toute
idée
de liberté, toute idée de propriété, toute idée de patrie… [et l’énum
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libérément supprimée toute idée de liberté, toute
idée
de propriété, toute idée de patrie… [et l’énumération se poursuit jus
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e idée de liberté, toute idée de propriété, toute
idée
de patrie… [et l’énumération se poursuit jusqu’à ceci] : Chose plus a
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jusqu’à ceci] : Chose plus atroce encore [sic] l’
idée
chrétienne, l’idée religieuse l’idée même de Dieu est abolie… » Ne po
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ose plus atroce encore [sic] l’idée chrétienne, l’
idée
religieuse l’idée même de Dieu est abolie… » Ne pouvant supporter l’i
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core [sic] l’idée chrétienne, l’idée religieuse l’
idée
même de Dieu est abolie… » Ne pouvant supporter l’idée que cette « id
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même de Dieu est abolie… » Ne pouvant supporter l’
idée
que cette « idée » soit abolie, le Père de la Brière lance un vibrant
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abolie… » Ne pouvant supporter l’idée que cette «
idée
» soit abolie, le Père de la Brière lance un vibrant appel aux écriva
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our mission de servir et de faire rayonner. » — L’
idée
de propriété, l’idée chrétienne28, les hautes valeurs, les vérités sa
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et de faire rayonner. » — L’idée de propriété, l’
idée
chrétienne28, les hautes valeurs, les vérités saintes, — l’Académie d
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: celle de voir qualifier de « chrétienne » une «
idée
» qui sert l’injustice établie. Tu ne crois pas à ces paroles et tu f
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re 1932. 27. Figaro , 4 février 1933. 28. Une
idée
fausse, par définition, le christianisme n’étant rien d’autre qu’un é
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précédent. Ce n’est plus seulement de conflits d’
idées
qu’il s’agit, ni même de conflits d’intérêts. Mais pour nous, entrés
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is je. À la question « Prenez-vous au sérieux vos
idées
, y croyez-vous ? », les hommes de ce temps n’aiment pas répondre, car
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herche. Ce qu’il faut pour légitimer un système d’
idées
en elles-mêmes justes et opportunes, c’est une violence spirituelle q
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t dans le fond de leur être. Il faut derrière ces
idées
une masse volontaire, une pesante contrainte de foi, une pureté terri
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ment maladive. L’homme sain ne s’excite pas sur l’
idée
de sécurité. Il demande un principe de grandeur, ou simplement quelqu
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besoins, à ses désirs réels, et s’hypnotisa sur l’
idée
du standard de vie, défini par comparaison avec « les autres », déter
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tisfont aux exigences de la raison, ou à certaine
idée
d’une « dignité » de l’homme, d’autre part, elles entravent le cours
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épublicaine conservatrice, « doctrine » radicale,
idée
socialiste, mots d’ordre communistes… En marge de l’action directe, a
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us les étages les moyens aux fins, les outils à l’
idée
directrice, les mécanismes matériels aux œuvres spirituelles, enfin l
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. En vérité, c’est le libéralisme qui a répandu l’
idée
que l’engagement ne peut être qu’un esclavage. La liberté réelle n’a
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s bien la condition qu’il ménage à l’Église, et l’
idée
de l’homme qu’il suppose. C’est en nous plaçant à ce double point de
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il a subi le même destin ; mais la dispersion des
idées
n’entraîne pas les mêmes conséquences que celle des groupes organisés
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édés par cette mise dans le domaine public de nos
idées
. D’autre part, le succès que rencontre aujourd’hui la doctrine existe