1 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — En dernier ressort
1 faits qu’on n’a pas à choisir, penchant vers des idées que la logique n’est pas seule à ordonner. Le mieux était de conserve
2 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
2 et cette morale est délibérément supprimée toute idée de liberté, toute idée de propriété, toute idée de patrie… [et l’énum
3 libérément supprimée toute idée de liberté, toute idée de propriété, toute idée de patrie… [et l’énumération se poursuit jus
4 e idée de liberté, toute idée de propriété, toute idée de patrie… [et l’énumération se poursuit jusqu’à ceci] : Chose plus a
5 jusqu’à ceci] : Chose plus atroce encore [sic] l’ idée chrétienne, l’idée religieuse l’idée même de Dieu est abolie… » Ne po
6 ose plus atroce encore [sic] l’idée chrétienne, l’ idée religieuse l’idée même de Dieu est abolie… » Ne pouvant supporter l’i
7 core [sic] l’idée chrétienne, l’idée religieuse l’ idée même de Dieu est abolie… » Ne pouvant supporter l’idée que cette « id
8 même de Dieu est abolie… » Ne pouvant supporter l’ idée que cette « idée » soit abolie, le Père de la Brière lance un vibrant
9 abolie… » Ne pouvant supporter l’idée que cette «  idée  » soit abolie, le Père de la Brière lance un vibrant appel aux écriva
10 our mission de servir et de faire rayonner. » — L’ idée de propriété, l’idée chrétienne28, les hautes valeurs, les vérités sa
11 et de faire rayonner. » — L’idée de propriété, l’ idée chrétienne28, les hautes valeurs, les vérités saintes, — l’Académie d
12 : celle de voir qualifier de « chrétienne » une «  idée  » qui sert l’injustice établie. Tu ne crois pas à ces paroles et tu f
13 re 1932. 27. Figaro , 4 février 1933. 28. Une idée fausse, par définition, le christianisme n’étant rien d’autre qu’un é
3 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
14 précédent. Ce n’est plus seulement de conflits d’ idées qu’il s’agit, ni même de conflits d’intérêts. Mais pour nous, entrés
15 is je. À la question « Prenez-vous au sérieux vos idées , y croyez-vous ? », les hommes de ce temps n’aiment pas répondre, car
16 herche. Ce qu’il faut pour légitimer un système d’ idées en elles-mêmes justes et opportunes, c’est une violence spirituelle q
17 t dans le fond de leur être. Il faut derrière ces idées une masse volontaire, une pesante contrainte de foi, une pureté terri
4 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
18 ment maladive. L’homme sain ne s’excite pas sur l’ idée de sécurité. Il demande un principe de grandeur, ou simplement quelqu
19 besoins, à ses désirs réels, et s’hypnotisa sur l’ idée du standard de vie, défini par comparaison avec « les autres », déter
5 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
20 tisfont aux exigences de la raison, ou à certaine idée d’une « dignité » de l’homme, d’autre part, elles entravent le cours
6 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
21 épublicaine conservatrice, « doctrine » radicale, idée socialiste, mots d’ordre communistes… En marge de l’action directe, a
22 us les étages les moyens aux fins, les outils à l’ idée directrice, les mécanismes matériels aux œuvres spirituelles, enfin l
7 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
23 . En vérité, c’est le libéralisme qui a répandu l’ idée que l’engagement ne peut être qu’un esclavage. La liberté réelle n’a
8 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
24 s bien la condition qu’il ménage à l’Église, et l’ idée de l’homme qu’il suppose. C’est en nous plaçant à ce double point de
9 1946, Politique de la personne (1946). Préface pour l’édition de 1946
25 il a subi le même destin ; mais la dispersion des idées n’entraîne pas les mêmes conséquences que celle des groupes organisés
26 édés par cette mise dans le domaine public de nos idées . D’autre part, le succès que rencontre aujourd’hui la doctrine existe