1 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
1 ande partie à cause de la constante circulation d’ idées et d’hommes qui s’est établie dans ce pays entre le gouvernement et l
2 on n’est que le premier exemple qui me vienne à l’ idée . ⁂ J’ai dit désordre, parce que c’est de ce nom que l’on désigne ordi
3 e dont le Contrôleur général essaie de donner une idée dans le bref article que je citais : « Prenez le problème du logement
2 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
4 s. Bon garçon, le chapeau de travers sur quelques idées simples mais honnêtes, il sauve la veuve et l’orphelin du résistant,
5 ux parisiens. Un censeur astucieux, possédé par l’ idée d’empêcher le peuple de savoir ce qui se passe, n’eût pas trouvé de m
6 lu courir au plus pressé. Hollywood n’a plus d’ idées Toujours plus impeccables du point de vue technique et toujours pl
7 ay, sur le soupçon qu’on pourrait y trouver « une idée  ». Je soupçonne, pour ma part, que Hollywood n’y trouvera rien, ou si
8 de l’adolescence, femme la plus célèbre du monde, idée de la Femme régnant sur des millions de nuits, mythe évasif, que n’êt
9 se plaignent de ce que les auteurs n’aient plus d’ idées … Je vais leur donner gratis le moyen d’en sortir, et mon « idée » tie
10 leur donner gratis le moyen d’en sortir, et mon «  idée  » tient en trois mots : — Messieurs, sabrez vos budgets ! Essayez de
11 hangera, comme par enchantement ! Vous verrez les idées affluer. Quant au public… Eh bien ! pendant que j’y suis, un bon cons
12 ywood, après sa mort, devienne une merveilleuse «  idée de film », et renaisse à l’écran sous la forme du chef-d’œuvre que, v
13 s sommes payées par Hollywood pour l’achat de « l’ idée  » et du titre d’un livre. Ces trois dames ont vendu chacune de sept-c
14 ut de la littérature européenne, ou s’en fait une idée entièrement fausse. Vous connaissez, en France, à un ou deux noms prè
15 ns les plus célèbres en Amérique, vendez-leur une idée et votre nom. » Il contait l’anecdote suivante : un magazine à fort t
16 dont plus aucun n’était de lui. La signature et l’ idée générale permettaient cependant d’identifier le texte. J’appris ainsi
17 il « cherche à comprendre ». Et je crois qu’à son idée , donner un sens c’est généraliser. De même, comprendre c’est classer,
18 e le détail du style, autant que l’ordonnance des idées , transmet une qualité unique qui seule rend efficace l’acte d’écrire.
3 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
19 ant une sorte d’innocence. Disons, pour fixer les idées , que les deux romans européens les moins pensables en Amérique seraie
4 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
20 propriétaires qui se font bâtir une maison à leur idée a été centuplé depuis une quinzaine d’années, grâce aux mesures du Ne
21 l’Américain se contente plus longtemps des mêmes idées , des mêmes types d’appareils, parce qu’il les utilise vraiment, parce
22 de la mort à la guerre. Le Français, élevé dans l’ idée que dulce et decorum est pro patria mori, accepte de se faire tuer no
23 nde ne peut rendre acceptables ou justifiables. L’ idée que la souffrance puisse devenir féconde ne l’effleure pas, tandis qu
24 en Amérique L’Américain moyen vit encore sur l’ idée qu’il a tout comme un autre sa chance de devenir riche. Cette idée, r
25 comme un autre sa chance de devenir riche. Cette idée , réfutée par toutes les statistiques, lui est inculquée dès le Kinder