1 1948, Suite neuchâteloise. II
1 nt ces rythmes de mots, cette épithète, ce nœud d’ idées , où je ne reconnais rien de déjà lu ? Et de quel ciel me tombent ces
2 1948, Suite neuchâteloise. IV
2 eux, jusque dans ses fonctions ecclésiastiques, l’ idée du serviteur de la cité, c’est qu’en lui durait toute une race consac
3 mais sa fermeté dans le conseil ; son accueil aux idées nouvelles, mais ses convictions militantes ; son libéralisme foncier,
3 1948, Suite neuchâteloise. V
4 provinces ne doit rien aux mystères du sang, une idée chimérique ne cessera de me plaire : sur ces lieux où jadis des homme
4 1948, Suite neuchâteloise. VI
5 du terme — le roman, le poème, l’essai, le jeu d’ idées  — est restée chez nous pauvre ou nulle. Nous n’avons rien tiré de gra
5 1948, Suite neuchâteloise. VIII
6 r, l’école primaire, dont j’ai parlé ailleurs ; l’ idée que mon village ne ressemble à aucun autre ; une connaissance intime