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aussi d’une manière plus diffuse en fonction de l’
idée
d’ensemble ou de la vision directrice. Or cet ensemble, ce but entr’a
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a mort). » Je voudrais à mon tour illustrer cette
idée
en l’exposant sous trois aspects variés. Christ et le Bouddha. Le Fi
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grands physiciens en Orient ? Mais personne n’a l’
idée
de parler de l’Orient scientifique, ou de l’Occident mystique. Un San
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l’action de la Grâce, voire un Dieu personnel. L’
idée
de la « voie » ou « loi individuelle » (Svadharma) semble rappeler l’
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loi individuelle » (Svadharma) semble rappeler l’
idée
de vocation personnelle, tandis que nous inventons le collectivisme…
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père du coupé en deux. Ce qui manque ici, c’est l’
idée
grecque de mesure et, en liaison avec elle, l’idée de liberté. Seule
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dée grecque de mesure et, en liaison avec elle, l’
idée
de liberté. Seule l’idée de la mesure de l’homme renferme l’idée de s
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en liaison avec elle, l’idée de liberté. Seule l’
idée
de la mesure de l’homme renferme l’idée de son individualité. Mon s
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. Seule l’idée de la mesure de l’homme renferme l’
idée
de son individualité. Mon second exemple, est emprunté à un essai d
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ssités techniques » en général peut nous donner l’
idée
de ce que représente alors l’évidence magico-religieuse, et de ce qu’
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s, réforme en l’assumant le monde antique, crée l’
idée
de personne qui permet la synthèse de l’idée grecque d’individu et de
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ée l’idée de personne qui permet la synthèse de l’
idée
grecque d’individu et de l’idée romaine de citoyen, et maintient au t
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la synthèse de l’idée grecque d’individu et de l’
idée
romaine de citoyen, et maintient au travers de nos révolutions, anarc
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e de la Divinité révélée en Jésus. Ainsi naquit l’
idée
de Personne, terme purement théologique aux yeux des Pères de Nicée,
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edoutés. Rien ne le distingue du criminel, sauf l’
idée
qu’il prend de lui-même, enfin distincte. Il court sa chance d’indivi
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la découverte du monde y est une conséquence de l’
idée
de l’infini, tout nouvellement admise, délivrant l’esprit ébloui du m
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é et le système d’une médiation universelle par l’
Idée
, il y a toujours un Kierkegaard qui nous rappelle qu’entre l’Idée et
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jours un Kierkegaard qui nous rappelle qu’entre l’
Idée
et l’existence surgit le drame : « Tant que je vis, je vis dans la co
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e, dont il se trouve coupé par le seul fait que l’
idée
de liberté est liée dans son esprit à l’idée de l’erreur sociale, et
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ue l’idée de liberté est liée dans son esprit à l’
idée
de l’erreur sociale, et signifie les sanctions immédiates de la Terre
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le corps social, il prend le nom de Révolution. L’
idée
et la réalité de ce phénomène, je l’ai dit, sont inconnues dans tout
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idiens, khmers ou mongols, chinois ou japonais. L’
idée
ne peut apparaître aux yeux d’un Asiatique indemne d’influences occid
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ue dans les sociétés closes et sacrées ; enfin, l’
idée
de la mission reçue ou vocation, transcendante par rapport à la moral
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’est aboli ni privé de ses temples. Elle évoque l’
idée
d’une Europe où vivraient encore sous nos yeux, dans nos villes et da
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L’éloquence crispée d’un Saint-Just40 était leur
idée
de la « pureté », les sentences brutales d’un Lénine leur idée de la
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pureté », les sentences brutales d’un Lénine leur
idée
de la rigueur efficace. Un certain extrémisme littéraire leur a longt
27
ut au nom de la Nation. Mais si, à l’intérieur, l’
idée
de nation devient entre les mains de l’État un instrument d’oppressio
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se représente la nation comme une croisade pour l’
idée
. « Ce ne sont pas les déterminations naturelles de la nation qui lui
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istoire. Nous assistons au transfert décisif de l’
idée
de vocation, passant des personnes aux nations. ⁂ Mais cet État-nati
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nt les « immortels principes ». Pour la Prusse, l’
idée
de l’État. Pour l’Angleterre, la maîtrise des mers. Pour la Russie, u
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e aujourd’hui encore dans les masses paysannes, l’
idée
d’une évolution imprévisible et progressive est généralement éliminée
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les premiers chrétiens, ce qui rend supportable l’
idée
d’un temps vidé de rythmes et de mythes, c’est la croyance à la Fin i
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n fait — mais je ne pense pas en droit — contre l’
idée
occidentale de l’homme. L’importance apparente des collectivités, de
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là de tout ce que notre esprit peut se figurer, l’
idée
d’évolution balaie nos repères et nous emporte sans espoir à l’aventu
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ormais se défendre contre cette terreur que par l’
idée
de Dieu. En effet, c’est seulement en présupposant l’existence de Die
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e formaient à partir de leur métaphysique et leur
idée
du réel, corrigées par quelques observations. La première révolution
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les Africains, et les Aztèques n’ont-ils pas eu l’
idée
d’aller regarder ce qui existait au-delà de leur monde ? Si l’on répo
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cus par son délire mystique, mais non point par l’
idée
de fonder un Empire. En effet, l’objectif de Colón n’était pas de con
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iques, les complaisances passionnées qu’éveille l’
idée
de l’or même au cœur d’un Croisé… Il est bon de partir sans savoir où
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veau ! Tout cela, bien sûr, reste ambigu, comme l’
idée
même du Progrès. Si Caliban ne fait pas un bon esclave, fera-t-il un
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par Dieu. Là, toute chose, belle ou laide à notre
idée
, implique une intention, trahit un sens, est intéressante et valable
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ble, naît de cette tension, de cette lutte avec l’
idée
de Dieu jusque dans la connaissance du réel, qui pourtant vient de Di
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pensée matérialiste. Celles-ci se fondaient sur l’
idée
fixe que la preuve de réalité dans tous les cas et dans tous les doma
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rabilité. Fondement premier et refuge ultime de l’
idée
de matérialité, l’atome se résolvait en une sorte de vide animé d’on
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eu de pavoiser, car, pour les mêmes raisons, leur
idée
de l’esprit paraît fort compromise. Si le matérialiste est à bon droi
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in, mais elle pose en même temps l’existence de l’
idée
d’un Ailleurs absolu, d’un totaliter aliter. Et rien ne peut faire qu
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aliter aliter. Et rien ne peut faire qu’une telle
idée
provienne d’un monde suffisant et fermé sur soi. Cette « voie négativ
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excès — devenu courant — d’opposer la Bombe H à l’
idée
du progrès, voire à la recherche scientifique en général : c’est maud
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ventions non faites, ou non « utilisées » à notre
idée
, conduirait aux mêmes conclusions. Pourquoi les Mayas ne labouraient-
50
r de la volonté de connaissance désintéressée à l’
idée
d’appliquer certains de ses résultats, il fallait d’autres hommes que
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eux motivations qu’il importe de distinguer. 1° L’
idée
chrétienne que le mal est dans l’homme, et que la Nature est innocent
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me naturaliste, l’un et l’autre unilatéraux. 2° L’
idée
du Mal est projetée à nouveau non plus sur la Nature mais bien sur la
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par un certain usage que l’homme en fait. D’où l’
idée
, répandue dans les élites, qu’un peu plus de technique ne peut produi
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e et de la technique, qui a fomenté la crise de l’
idée
du Progrès. Évolution n’est plus synonyme de progrès L’idée d’é
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Évolution n’est plus synonyme de progrès L’
idée
d’évolution est une forme de pensée qui affleure avec puissance, en O
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ut de l’archétype de pensée qui conditionne notre
idée
du Progrès, au sens que lui donne Condorcet dès 1793. Les deux termes
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er de ces cycles de « grandeur et décadence » à l’
idée
d’ascension générale et continue qu’impliquait la croyance au Progrès
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nous asservirait au lieu de nous libérer. De là l’
idée
d’une trêve des inventions, proposée par des sages angoissés. Mais ce
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he. Or elle joue psychologiquement en faveur de l’
idée
de Progrès, contre l’idée d’Évolution, qui est un retour inconscient
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iquement en faveur de l’idée de Progrès, contre l’
idée
d’Évolution, qui est un retour inconscient (par angoisse) aux formes
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e jamais finie, qui a permis, en même temps que l’
idée
du Progrès, certains progrès qui ne sont pas illusoires. J’en donnera
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totalitaires et des évasions illusoires ? Ainsi l’
idée
de Progrès semble contradictoire dès qu’on tente d’en mesurer les eff
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les dons ambigus. Mais l’Europe, responsable de l’
idée
du Progrès, est responsable aussi de sa rectification. Toutes les « h
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ivantes mais cependant jamais stabilisées. D’où l’
idée
du Progrès, mais aussi, les illusions qu’elle entretient en nous. Au
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e d’illusion naît de notre habitude d’appliquer l’
idée
de progrès à des domaines où ce n’est pas l’évolution mais l’instant
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llusions les plus courantes, on voit maintenant l’
idée
de Progrès se confondre avec celle d’un accroissement de sens et d’un
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t de Toynbee, qui ont tant fait pour accréditer l’
idée
d’une décadence inévitable succédant à l’épanouissement ? 89. Les ta
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rticulièrement riches en exemples de cet ordre. L’
idée
que la sexualité refrénée (plus encore que la chasteté) rend immortel
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a guerre totale, mais aussi conçu le pacifisme, l’
idée
chrétienne de condamner la guerre. Elle a certes créé le nationalisme
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Elle a certes créé le nationalisme, mais aussi l’
idée
fédérale ; l’individualisme anarchique, mais aussi l’esprit des commu
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s du travail inhumain et du chômage. D’où enfin l’
idée
radicale, mais conforme au génie de l’époque technique, d’envisager l