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ns majeures la définissent ou la nient. Car toute
idée
de l’homme est une idée de l’amour. Cette succession pourra surprendr
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nt ou la nient. Car toute idée de l’homme est une
idée
de l’amour. Cette succession pourra surprendre. Des transitions logiq
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parlent Freud, Adler et Jung. Ce ne sont pas des
Idées
platoniciennes éternellement préexistantes à l’homme, des lois cosmiq
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ent inaccessible par la différence d’âge et par l’
idée
de la mort. C’est ainsi que la « nymphet » peut devenir le support de
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ard ne cesse de répéter sur tous les tons la même
idée
: il est né pour forcer notre époque détraquée à reconnaître l’absolu
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os tout théorique qu’il imagine : « Je vois que l’
idée
de mon existence fait naufrage sur cette jeune fille, ergo la jeune f
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la vérité. Cependant, cette ambiguïté dans notre
idée
courante de la vocation n’est pas celle qui retient Kierkegaard. Il e
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t ; c’est en elle que j’ai pris conscience de mon
idée
, de ma tâche. Dans un autre passage du même livre, il nous décrit ce
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cer sur presque tous les hommes, n’évoque pas une
idée
de santé. Mais dans cette furie insolente, dans cette jactance batail
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r le silence ou les lâchetés de l’adversaire. Les
idées
se retournent au caprice de l’esprit : il n’y a plus de vérité qui ti
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re. Personne n’a parlé. Dieu est mort ! De chaque
idée
, de chaque croyance, de chaque valeur, Nietzsche a voulu violer le se
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, que Nietzsche a rencontré soudain la fascinante
idée
du Retour éternel. Devant le roc de Sils-Maria on le voit interrompre
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le règlement final, le jugement dernier — d’où l’
idée
du retour éternel. Comme je parlais de ces choses à une amie : « J’ai
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après la parole, le médium le moins matériel de l’
idée
: elle n’existe que dans le temps, dans une succession de moments, pu
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Mozart en ait découvert à la fois le médium et l’
idée
», d’où « la valeur classique absolue » de son opéra. On pourra multi
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opéra. On pourra multiplier les Faust 28, car « l’
idée
de Faust suppose une telle maturité d’esprit qu’il est naturel qu’il
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Juan de Mozart, « par le caractère abstrait de l’
idée
, vivra éternellement et dans tous les temps ». En récrire un après Mo
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les tourments de la passion poétique mais pour l’
Idée
, aventuriers de l’esprit seul. Deux existences à peu près dépourvues
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dégoût par la satiété, associer à l’instinct une
idée
martyrisante ou de honte, dissocier et disperser ses forces, enfin s’
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ur nous. Le christianisme s’est-il donc effrayé d’
idées
semblables ? La passion et la mort ne sont-elles pas sœurs ?48 » Au c
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ierkegaard dit en termes hégéliens : conforme à l’
idée
pure, à l’idéalité, à la catégorie. Il n’a pas de peine à démontrer q
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hospitalité. Saint Paul reste sa bête noire. Et l’
idée
même d’orthodoxie. Il nie vivement que l’expression d’orthodoxie prot
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que j’aimais bien. » Vite lassé par les débats d’
idées
, il semble répugner à toute pensée qui par le style d’abord ne l’ait
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ée.) Penser n’est pas non plus s’ingénier sur des
idées
et des combinaisons d’idées : mais créer de tout son être spirituel d
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us s’ingénier sur des idées et des combinaisons d’
idées
: mais créer de tout son être spirituel des faits nouveaux et vrais,
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s, que ceux-là seuls qui se font de la poésie une
idée
finalement plus favorable au Livre de Job et aux proverbes zen qu’à L
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ement, je le voyais bien, je jouais encore avec l’
idée
que cette relation devait exclure tout bavardage et comporter quelque
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distances : Rilke, écrit-il, a toujours refusé l’
idée
fondamentale du sacrifice, seul chemin qui permet de passer de l’inté
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nt. Dans les deux cas, il s’agit du concept, de l’
idée
et de l’existence de l’Infini, dès que la parole cesse d’être une sim
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ionalisme, oh ! pas du tout, mais en vertu de son
idée
de l’Infini, du trans-conceptuel, de l’inconcevable, en vertu de l’Im
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e, le drame du rejaillissement d’une image, d’une
idée
survenant, d’un principe ; le coup est parti, tout de suite, cela jai
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le monde sans mesure d’avant le drame, d’avant l’
idée
et la Parole — et du monde collectif, qui est sa contrepartie plate e
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Dieu… ou bien devrait-on le nommer l’Hamlet de l’
idée
du Dieu-Homme, l’Hamlet de l’idée de foi ?… » Je développais cette mê
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r l’Hamlet de l’idée du Dieu-Homme, l’Hamlet de l’
idée
de foi ?… » Je développais cette même idée dans mon essai sur Kierkeg
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t de l’idée de foi ?… » Je développais cette même
idée
dans mon essai sur Kierkegaard et Hamlet, deux princes danois, publié
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simple messager transmettant les ordres, ni de l’
idée
courante de l’Ange gardien », mais de ceci : « que la Forme sous laqu
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res de leurs contrées ; c’est bien plutôt à notre
idée
de la personne qu’ils opposent leur idée du non-moi. Le vrai malenten
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à notre idée de la personne qu’ils opposent leur
idée
du non-moi. Le vrai malentendu se serait-il instauré entre eux et nou
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e mais du monde, c’est son action qui configure l’
idée
du moi que nous nous faisons, et cette idée du moi révèle l’amour, co
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ure l’idée du moi que nous nous faisons, et cette
idée
du moi révèle l’amour, comme la structure de l’atome traduit certaine
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omme la non-existence du moi). Illustrons cela. L’
idée
de vocation personnelle accomplie aux dépens de l’individu est loin d
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Soi qui dormira dans un sommeil sans rêves — leur
idée
du bonheur — entre deux Créations totalement insensées. Si les saints
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nne » ; ce sont nos instincts, nos tendances, nos
idées
, nos croyances, nos désirs, etc. Chacun de ceux-ci se trouve être, de
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douter de l’être, et du devenir, et de toutes nos
idées
sur « Dieu », je n’ai jamais douté de l’amour même. J’ai pu douter ju