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ites progressistes et l’imagination des peuples l’
idée
d’abord, puis l’avènement en quelques mois au milieu du xixe siècle,
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connue que les actes du héros. Non certes dans l’
idée
sotte ou perverse de réduire le sublime au sordide ou seulement à l’i
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le seul monument qui ait survécu au combat pour l’
idée
communale, idée partout ailleurs vaincue par le principe monarchique
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qui ait survécu au combat pour l’idée communale,
idée
partout ailleurs vaincue par le principe monarchique »12. De même, pl
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e principe monarchique »12. De même, plus tard, l’
idée
fédéraliste ne survivra que dans ce coin de l’Europe, partout ailleur
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à première vue choquer l’esprit moderne. Car nos
idées
de la guerre, de l’armée et de l’ennemi ne sont plus celles du xvie
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que sacré, dont la tauromachie nous donne quelque
idée
. L’ennemi n’était encore que l’adversaire désigné par les conventions
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ns toute l’Europe, ils se sont mis à exporter des
idées
pacifiantes et humanitaires, des arbitres, des négociateurs de bons o
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antons permettront tout au moins de se former une
idée
de la variété des origines, des statuts et du rôle historique d’une c
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éputés, ce qui trahit quelque flottement dans son
idée
de la Suisse en tant qu’État distinct : on ne savait trop, à l’époque
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vague ou douteuse, elle n’en était pas moins une
idée
exaltante. Rousseau fuyant la France absolutiste court vers « la Suis
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Voltaire », bien que ses terres soient en France.
Idée
plus que réalité instituée, la Suisse d’alors est assez comparable à
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aractéristiques ; ce sont eux qui, en éloignant l’
idée
de ressemblance avec les autres États, écartent celle de vous confond
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et des diversités. Tout en reconnaissant que « l’
idée
de la souveraineté cantonale est toujours l’idée dominante », il n’hé
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’idée de la souveraineté cantonale est toujours l’
idée
dominante », il n’hésite pas à préconiser la conception révolutionnai
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gion, d’industrie ; ce mot avec tout le cortège d’
idées
qui l’accompagnent, plane au-dessus des traditions locales, ou, pour
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cachet ineffaçable de nationalité commune… Oui, l’
idée
d’une commune patrie ne nous est point étrangère ; le sentiment de la
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es, c’est une des gloires de ces temps, que cette
idée
ait acquis plus de netteté, ce sentiment plus d’énergie. Ce mémorable
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ns particulières ; les uns exaltent comme Rossi l’
idée
d’une commune patrie, les autres crient à la « chimère impraticable »
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tension, et cela ne s’opère pas dans le ciel des
idées
par les calculs d’une sagesse bien tempérée, mais dans le conflit quo
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Bluntschli oppose le principe fédéraliste à toute
idée
d’« État européen unique », qu’il tient d’ailleurs pour irréalisable.
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l fédéralisme. Peut-être faudra-t-il abandonner l’
idée
(qui vient du plus haut Moyen Âge) d’une sorte d’autarcie du petit mo
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ellement et moralement, et accepter franchement l’
idée
nouvelle de complexes de communes complémentaires, qui partageraient
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t aussi rarement que possible dans le domaine des
idées
générales et des conflits de doctrine : ils préfèrent parler chiffres
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n’existe pas ; que l’autarcie culturelle est une
idée
de fou ; que la souveraineté absolue supposerait une arme absolue qu’
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lument réformiste, et qu’il n’aime pas les jeux d’
idées
ni la spéculation dans aucun ordre, enfin que le travail est sa vie,
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que la Suisse n’a produit rien de grand, hommes,
idées
ou objets, comme l’Italie a produit Dante, la France Pascal et la Rév
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était un jeune Bernois, épris de littérature et d’
idées
libertaires. Il devint cependant pasteur à 25 ans et passa le reste d
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magne sur la foi de leurs penseurs romantiques. L’
idée
qu’il y aurait en Europe un certain nombre de cultures nationales, bi
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s-Maria, lieux où Nietzsche conçut en un éclair l’
idée
du Retour éternel.) Toute la carrière d’Hodler s’est faite en Suisse,
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Exposition nationale de 1964 donne au contraire l’
idée
de la stabilité dans une agitation répétitive, éperdument coordonnée.
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sier l’est resté toute sa vie dans son style, ses
idées
et son comportement. Les bourgeois, en Suisse comme ailleurs, aiment
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elle, le style Le Corbusier est très conforme à l’
idée
synthétique que l’on se fait de l’esprit suisse, mais, en fait, il ne
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ne, dont le Coppet de Mme de Staël donna seul une
idée
fugitive. Certes, l’écrivain de Schwyz, de Bâle ou de Glaris, quand i
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texte à publier. Personne en revanche n’aurait l’
idée
de parler en Allemagne d’un écrivain suisse d’expression allemande. M
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bien que tout cela est écrit contre une certaine
idée
de l’esprit suisse : moralisant et conformiste, préoccupé de confort
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Töpffer et de Philippe Monnier — si contraire à l’
idée
convenue de l’austérité calviniste —, elle est liée à la nature human
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u Nord du Saint-Empire. D’Italie sont montées les
idées
puis les arts, tandis que de la Germanie et des Ligues suisses des ar
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qui demeurent extrêmement vivaces à ce niveau. L’
idée
même de créer une université romande unique, qui engloberait celles d
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e d’Occident, l’union sans unification, qui est l’
idée
fédéraliste. Entre-temps les nations se constituent, se multiplient,
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ui rétablissent la circulation internationale des
idées
, malgré les jacobins et le Premier Empire. Benjamin Constant n’est pa
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c’est au cours du congrès de Montreux que germe l’
idée
de réunir des états généraux de l’Europe. Cette idée aussitôt adoptée
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e de réunir des états généraux de l’Europe. Cette
idée
aussitôt adoptée conduit à la convocation du Congrès de l’Europe, à L
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ous le haut patronage du Conseil fédéral. Ainsi l’
idée
européenne semble avoir trouvé son climat autant que son modèle en Su
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ent une place de choix dans toute anthologie de l’
idée
européenne135. C’est en Suisse que Mazzini publie en 1836 le manifest
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déralisme Tels étant les termes du débat que l’
idée
européenne suscite en Suisse, il faut bien reconnaître que, des deux
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ient que la Suisse renonce sans condition à toute
idée
de neutralité. Mon idéal très clair — mon utopie — est que la Suisse
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ances que nous le proposions… Tout le débat sur l’
idée
européenne paraît tourner dans notre presse autour de la défense des
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er. 2. Ce dernier terme évoque irrésistiblement l’
idée
de transformer la Suisse entière en une sorte de réserve gardée, de p
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n et qui bénéficient de ses recherches n’aurait l’
idée
de voir dans cette mise en commun une diminution quelconque de son in
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uisses, et confirme en les nuançant plusieurs des
idées
maîtresses de Kop. L’année suivante, Albert Rilliet publie ses Origin
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encore moins de critique d’art ou d’histoire des
idées
, mais d’exemples topiques illustrant à mes yeux une certaine approche
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une certaine structure des relations publiques, l’
idée
supérieurement paradoxale, si l’on y réfléchit, d’une société des hom
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treprendre une action politique pour réaliser mon
idée
. J’ai répondu : « Chacun son rôle, chacun son tour. Le poteau indicat