1 résolution de Florence, elle tend à accréditer l’ idée de l’origine américaine du projet, du moins dans ses contours les plu

2 tablir la genèse véritable et la progression de l’ idée du laboratoire, ne fut-ce que pour parer aux attaques d’une propagand

3 honneur de l’abriter revient à la Suisse — d’où l’ idée est partie. Reprenons maintenant avec plus de détails l’itinéraire q

4 r la lancée de son initiative. Itinéraire d’une idée (I) : Premières lueurs dans l’œil d’un physicien, puis d’un ingénieur

5 j’avais compris qu’il fallait absolument lier les idées d’union européenne et de maîtrise de l’énergie nucléaire : deux chose

6 ec les nuances les plus précises l’évolution de l’ idée , de Lausanne 1949 à la réunion décisive du 12 décembre 1950 au siège

7 cembre 1950 au siège du CEC. Itinéraire d’une idée (II) : les cheminements Vers un fonds européen de la recherche s

8 de Raoul Dautry, daté du 7 décembre 1950) : L’ idée de créer des laboratoires scientifiques européens — et même intercont

9 teurs et professeurs de 53 nations. On le voit, l’ idée avancée en décembre 1949 a gagné en profondeur, a touché de larges mi

10 ntre européen de la culture Itinéraire d’une idée (III) : l’Acte créateur Les erreurs si fréquentes sur l’origine du

11 des, Jean-Paul de Dadelsen Itinéraire d’une idée (IV) : Étapes Dès l’été 1951, le projet est pris en charge par l’U

12 ssement du CERN, la question de la paternité de l’ idée est débattue, et le rôle initial de la conférence de Lausanne en 1949

13 R doivent entrer en fonction. Itinéraire d’une idée (V) : un regard en arrière… Lors du Colloque marquant le XXe anniv

14 e phases qui se commandent les unes les autres. L’ idée , la conception, la naissance proprement dite, le développement. Et c’

15 ne, la conception. L’étape précédente, celle de l’ idée , est plus difficile à préciser : on peut citer la conférence de Lausa

16 ticipantes. Il faut remarquer ici que seule cette idée initiale était énoncée, et ni le domaine du CERN — même pas la physiq

17 savants du monde entier s’ils approuvaient cette idée et, dans l’affirmative, quelles seraient les tâches auxquelles selon

18 mais n’aboutit à aucune réalisation concrète. Ces idées , très générales, se sont cependant précisées au cours de divers entre

19 s personnes compétentes à contacter pour vendre l’ idée — comme disent les Américains — et pour préparer les conseils et grou

20 ue par la volonté d’exclure d’entrée de jeu toute idée d’utilisation militaire, mais elle ne signifie nullement que l’on ent

21 tiative française… La vérité historique est que l’ idée du Centre a été conçue en 1949 par les hommes de ce qu’on appelle le

22 ts de la Fondation européenne de la culture L’ idée Cela commence par deux grands rideaux jaunes fermés dans un geste

23 De ce dialogue, et d’une juste colère, est née l’ idée de la Fondation, en décembre 1952. Nous vivions alors une période de

24 ppeler quelques grandes priorités. Et certes, les idées ne manquaient pas, mais les moyens pour les réaliser et propager rest

25 européen de la culture une sorte de pivot entre l’ idée européenne et ses réalisations politiques. Ce programme impliquait et

26 et qui se fût située dès le départ au niveau des idées et des prises de conscience. Car « les obstacles à notre union ne son

27 simple : il s’agissait de réunir, au service de l’ idée fédéraliste, des moyens financiers et politiques suffisants pour fair

28 Centre ? Comment intensifier le rayonnement de l’ idée européenne non seulement dans nos différents pays, mais dans les diff

29 eurs forces pour le salut public du continent ? L’ idée de former un groupe d’Amis du Centre est née de semblables questions.

30 ant en commun ces deux traits d’être acquises à l’ idée européenne, et d’exercer une influence incontestée dans des milieux a

31 leins de bonne volonté, pour nous apporter… leurs idées  ! Il était admirable, en vérité, de voir quelques-uns des plus grands

32 es et politiques dont l’œuvre a fait progresser l’ idée européenne. Il est possible que le capital puisse être placé à la dis