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isait-il d’une voix déjà légèrement voilée, « nos
idées
, anticipations et propositions, loin de se démoder, n’ont fait que se
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te des plus significatifs qui tend à dévaluer les
idées
personnalistes de Karol Wojtyla, publié par les Archives de philosoph
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Communautés, communesa 1. Les sources de l’
idée
de commune 20 février 1970 La commune urbaine ou cité-État qui se
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roupes sociaux électifs sont donc définis par des
idées
, des préoccupations et des besoins moraux, psychologiques, religieux,
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nsion. Le point d’équilibre se trouve autour de l’
idée
d’un optimum de participation entre deux maxima contradictoires : la
6
n sur les bourgeois élevés au xixe siècle dans l’
idée
qu’il était malséant de parler d’argent ou de parler de sexe : ces de
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1976 Il y a longtemps que je me bats contre cette
idée
qu’on pourrait faire une presse objective, annonçant les faits tels q
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rise de pouvoir de l’homme sur la nature. 6. L’
idée
d’empire, symbole d’universalité 25 octobre 1968 La principale con
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ymbole vivant. Il garantissait dans sa personne l’
idée
d’unité, d’harmonie, de paix religieuse et universelle. Il maintenait
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e paix religieuse et universelle. Il maintenait l’
idée
de droit, de légitimité du pouvoir. 7. Les sources principales de
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nsée caractéristique de la culture européenne : l’
idée
d’union sans fusion ni séparation, la dialectique toujours ouverte de
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le fédéralisme est la transposition politique. L’
idée
d’empire est un autre produit marquant de la culture et de l’histoire
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s mêmes catégories, à une sorte de transfert de l’
idée
de vocation personnelle au niveau collectif de la nation, de l’État ;
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vie latente dans l’empire, se sont pénétrées de l’
idée
qu’elles avaient chacune une vocation universelle. Ces prétentions im
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État romain dont elle n’a gardé que le droit et l’
idée
d’institutions — est liée au territoire, au domaine d’un roi et d’une
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tion, cette manière de renvoyer le droit romain ;
idée
que la souveraineté ne saurait être limitée en rien. 15 janvier 1965
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n de coïncider sur un même territoire. Mais cette
idée
que tout ce que fait un homme, tout ce qu’il dit, tout ce qu’il souha
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on française et des guerres napoléoniennes. Cette
idée
de “nation” correspond en fait à la mainmise d’un appareil étatique s
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ons, sans aller au-delà. Également distincte de l’
idée
d’État-nation (dont procède l’“Empire” napoléonien) est la notion d’e
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t réalisées de fédéralisme ; vous trouvez aussi l’
idée
primitive des soviets, avant que Lénine ait réussi à les mettre au pa
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e grande partie de la littérature européenne, les
idées
de chevalerie, les doctrines de la passion), les valeurs germaniques,
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Mais, cette fédération, comment la réaliser si l’
idée
même en est confuse ? Si la doctrine reste ambiguë au point que pour
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. Avec l’introduction suivante des éditeurs : « L’
idée
du fédéralisme est très ancienne et caractéristique de la culture eur
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asser dans la réalité de la société occidentale l’
idée
d’histoire linéaire contre la conception cyclique ; l’idée de progrès
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stoire linéaire contre la conception cyclique ; l’
idée
de progrès possible contre celle de décadence inévitable ; l’idée de
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possible contre celle de décadence inévitable ; l’
idée
de changement instantané de tous, qui était pour la personne la conve
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’est la méthode appelée l’essentialisme : sorte d’
idée
platonicienne des nations, telles qu’elles devaient devenir pour que
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esponsables des bêtises que le pays a pu faire. L’
idée
de la patrie est intacte, immortelle, inaccessible. C’est le comble d
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insi conçue, est la réalisation progressive d’une
idée
d’essence supérieure, telle que la nation. L’autre approche, celle de
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assées (qui lui sont bien souvent étrangères) une
idée
du présent, la nation, dont on cherche à montrer le développement “lo
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aleur mythique qu’on leur accorde au service de l’
idée
d’une “nation” éternelle. À l’inverse, il faut considérer que l’homme
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chance de les connaître) et le plus près de leur
idée
d’une carrière intéressante, au sens financier de l’adjectif. Aujourd
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oyen des produits transformés de ce pillage. Et l’
idée
se fait jour en lui que ce n’est plus aux seuls « besoins de l’économ
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rui. On voit, ainsi, la nécessité de promouvoir l’
idée
d’un nouveau pacte entre l’homme, la cité, la nature. Il conviendrait
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et en jeu. Sans éliminer purement et simplement l’
idée
de profit, il faudrait que celui-ci cesse d’être la seule finalité ef
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à prévoir, à avoir sa politique à lui, est née l’
idée
de recherche à tout prix et de progrès. Voilà qui distingue complètem
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s, dirigent la cité. Le deuxième stade est, comme
idée
de l’homme, comme formule de l’homme, le citoyen. Ensuite, les cités
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première tâche du parti qui incarne la nation, l’
idée
de nation, consiste à centraliser tous les éléments du pouvoir, à eff
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umaines dans la cité, conformément à une certaine
idée
de la vie humaine et de la destination de l’homme, on voit qu’il y a
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ues. Pour l’une que j’appelle l’école unitaire, l’
idée
dominante, le but dernier qui prime tout quand il y a à choisir, c’es
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itique 10 février 1964 Le politicien part de l’
idée
que la politique est l’art du possible. L’utopiste, dans le meilleur
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opiste, dans le meilleur sens du terme, part de l’
idée
que la politique, c’est l’art de rendre possible ce qui est nécessair
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alisme interne. À gauche, on voit se développer l’
idée
d’un fédéralisme externe contre la souveraineté absolue des États, et
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ation idéologique moderne se distingue ainsi de l’
idée
originelle : la communauté de naissance. La pensée occidentale est ma
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éen, de l’établissement d’un “Sénat” des régions (
idée
lancée par Denis de Rougemont en 1970). Ce qui alors semblait une pur
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tout été de l’agitation négative ou une reprise d’
idées
un peu anciennes, celles des romantiques, ce qui explique l’échec tot
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spectaculaire du nationalisme. 14 janvier 1972 L’
idée
de révolution est née du christianisme, et l’on peut vérifier qu’elle
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alité d’une civilisation, d’une société, liée aux
idées
d’histoire, de progrès, de révolution. Il y a finalité déclarée dès q
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droits individuels, valeurs chrétiennes liées à l’
idée
de vocation personnelle. 19 juin 1970 Le progrès est intimement lié à
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e toutes les valeurs. Il y a donc dans l’État une
idée
de stabilisation. Au contraire, la révolution est un acte de « rééval