1 ium n’étant pas non plus à disposition de manière illimitée . Et pourtant, on continue à pratiquer la religion de la croissance. Q

2 entiel, ils veulent la même chose : la croissance illimitée et le prestige national. Ils ont perdu le sens de l’homme au profit d

3 isté, comme si les ressources de la terre étaient illimitées , comme s’il y avait de l’aluminium, du pétrole, de l’uranium pour mil

4 les dogmes du progrès matériel, de la croissance illimitée de tout et de n’importe quoi, du salut par la quantité au mépris de l

5 — des grands États centralisés. Or la croissance illimitée de la production industrielle a entraîné une consommation toujours pl

6 l (mais qui tourne au cauchemar) de la croissance illimitée . Mais voici la question décisive : « Jusqu’à quand et jusqu’où la cro

7 s États à ne rien abandonner de leur souveraineté illimitée . Comment s’unir dans de telles conditions ? Vouloir fonder l’Europe d

8 ions exorbitantes de l’État-nation à souveraineté illimitée dans sa frontière omnivalente). Point de régions sans l’Europe, ni

9 s y reviendrons). 3. L’État-nation à souveraineté illimitée dans ses frontières fixes apparaît donc l’obstacle décisif à la const

10 fini sur le plan collectif : idéologie du Progrès illimité  ; millénarisme totalitaire, stalinien, fasciste ou nazi ; croissance

11 rale, à l’époque, dans l’augmentation nécessaire, illimitée , inévitable et souhaitable, de la production et de la consommation d’