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le dogme de la souveraineté nationale absolue et
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, c’est-à-dire sacro-sainte, matérialisé par les frontières. Or il est
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u’ils sont fondés sur le dogme de la souveraineté
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dans leurs frontières, dites « géographiques », mais établies en fait
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chnologues, portent en soi des fins de croissance
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, qui condamnent le système à la fuite en avant vers un désastre inévi
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, accordés par leur facture même à une croissance
illimitée
, portent en eux des finalités virtuellement incompatibles avec celles
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hat, et d’autoroutes, c’est-à-dire une croissance
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— celle que l’on « justifiait » naguère par la croissance démographiq
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’annonce si long que les dangers de la croissance
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sont encore inconcevables dans ce monde-là. D’autant plus que Mao, tr
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s à revendiquer leur souveraineté stato-nationale
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. Là réside le plus grave danger pour la survie du genre humain. Car
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dépassement du dogme de la souveraineté nationale
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; — 2°) une restauration du sens civique et des possibilités de parti