1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
1 rt des autres accordent au contraire une efficace illimitée au vin magique. Rien de plus significatif que ces variantes, comme no
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
2 isons de l’esprit : le matin, qui est l’éclairage illimité de l’univers ; le jour, forme illimitée de la créature ; le soir, nég
3 ’éclairage illimité de l’univers ; le jour, forme illimitée de la créature ; le soir, négation illimitée de l’existence à l’origi
4 orme illimitée de la créature ; le soir, négation illimitée de l’existence à l’origine de l’univers ; la nuit, profondeur illimit
5 ce à l’origine de l’univers ; la nuit, profondeur illimitée de la connaissance de Dieu, existence absolue. (Cf. Ricarda Huch, Les
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
6 on aboutissement suprême, c’était la chute dans l’ illimité , au sein de la Nuit où s’effacent les formes, les visages, les destin