1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
1 rieures de Gottfried de Strasbourg et de tous les imitateurs allemands, italiens, danois, russes, tchèques, etc., se rapportent à
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
2 da Todi, « jongleur de Dieu », les laudes de ses imitateurs , les lettres de sainte Catherine de Sienne, le Livre de la bienheureu
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
3 ui revit en lui, c’est l’état d’âme créé chez les imitateurs des troubadours par une doctrine qu’ils « sécularisaient », n’en conn
4 -deux-guerres, un Lawrence, un Caldwell, et leurs imitateurs . Voici ce que nous disaient ces hommes : « Nous en avons assez de sou