1 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
1 ie militaire, comment dire, c’est quelque chose d’ immense et de sérieux. On y pénètre de tout son corps, de tout son sentiment
2 une église blanche, montait encore par des lacets immenses , passait enfin à notre hauteur, puis courait s’engouffrer dans les ro
2 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
3 essert. À Lisbonne, nous avons trouvé une chambre immense pour nous quatre. Et le lendemain nous étions accueillis dans cette Q
4 nne, 10 septembre 1940 Blanche et bleue dans l’ immense lumière de la liberté atlantique, avec tous ses drapeaux claquant et
5 Et comme on aime une terre qui s’approche, avec l’ immense sécurité du continent qu’on imagine au-delà de ces falaises orangées,
3 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
6 bien plus vastes, îles et plaines reliées par un immense réseau de ponts, de tunnels, et d’autostrades surélevées. Personne ne
7 un smoking, et en anglais dinner jacket. Ce parc immense , enclos d’épaisses murailles, est l’un des lieux les plus exclusifs d
8 de Mallarmé. Paris, Rome, en comparaison, sont d’ immenses parcs semés de groupes de monuments. Le site et le paysage y sont par
9 et déhanché, angoissant, tout autour de leur cage immense . Émotion pure, qui ne signifiait rien, ne se rapportait à rien, viole
4 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
10 condes, et l’attaque solaire recommence. Falaises immenses et striées de tous les rouges de la terre jusqu’au bleu pur, contempl
11 eo je ne veux noter que ce violet bruni du cirque immense des collines, piquées de villas au soleil, par-dessus le dos gris d’u
5 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
12 t l’on croirait qu’elle l’a même inventée : c’est immense , sur un promontoire emplumé d’arbres échevelés par les tempêtes, mais
6 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
13 tive de l’East River jusqu’à Brooklyn. Un paysage immense de minéral et d’eau. La rivière, sillonnée de remorqueurs toussotants
14 ssotants, luit d’un éclat d’étain pâli. Les ponts immenses , vers Brooklyn, font une dentelle d’un kilomètre, toute menue dans la
7 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
15 rbres de Noël roussis, des morceaux de caisses, d’ immenses cartonnages goudronnés. Flammes gaies sur le couchant rose et fuligin
16 aquets enrubannés, sur les fourrures, sur l’arbre immense du Rockefeller Plaza, transporté avec toutes ses racines d’un parc où