1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 erinage et pas un vrai château. Plaines et villes immenses , dénudées de mystère, nettoyées de toute trace de religion primitive
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
2 ses yeux de Grec ou d’Oriental, mais par le rêve immense des religions, transformant le réel insensé en un poème de morts et d
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
3 e la Terre, évoque l’effort persévérant d’un être immense qui essaie de se remémorer son existence. Pourtant, rien ne serait pl
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
4 tale ; et cet oubli des buts derniers n’est qu’un immense lapsus révélateur : il trahit une angoisse devant les perspectives ve
5 de camp. Celui dont le rôle sera d’administrer l’ immense usine sans ouvriers régnera souverainement sur l’absence. Mais les fa
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
6 hon puis un Marx le démontrent. D’où le mouvement immense , dès le milieu du siècle, vers tout ce qu’englobe le terme de sociali