1 manie aussi de situer le paradis dans la classe d’ impôts immédiatement supérieure à la leur. Ils voudraient que leur vie garan

2 rges politiques, de prébendes, de l’affermage des impôts et des douanes, ou d’affaires de prêts, le tout strictement réservé a

3 inscrire dans un parti, parler, se taire, payer l’ impôt ou frauder le fisc, fonder une banque, conduire un camion, prononcer

4 rges politiques, de prébendes, de l’affermage des impôts et des douanes, ou d’affaires de prêts, le tout strictement réservé a

5 inscrire dans un parti, parler, se taire, payer l’ impôt ou frauder le fisc, fonder une banque, conduire un camion, prononcer

6 s sujets, à charge d’une obéissance absolue, et d’ impôts croissants. Sous ces conditions, les armées impériales garantissent l

7 s des prolétaires urbains et agricoles, écrasés d’ impôts , furent rares et sans conséquences importantes. La Grande Jacquerie d

8 hargneuse et abstraite, quitte à payer le moins d’ impôts possible. Mais un cadre administratif et une poussière d’individus, c

9 se plaint de perdre tous ses privilèges, paye des impôts qui équivalent à une confiscation de capital, et gémit qu’on ne fait

10 n faveur des ouvriers et des paysans ; et que les impôts prennent les proportions d’une confiscation de capital ; et que la vi

11 mais ne se manifeste plus que par les feuilles d’ impôt , l’armée et la police ; où tout principe d’union sociale et spirituel

12 n faveur des ouvriers et des paysans ; et que les impôts prennent les proportions d’une confiscation de capital ; et que la vi

13 mais ne se manifeste plus que par les feuilles d’ impôt , l’armée et la police ; où tout principe d’union sociale et spirituel

14 restrictions matérielles, ou le fait de payer des impôts quadruplés. Ils n’en représentent pas moins la condition première de

15 partie à fabriquer les instruments et à payer les impôts nécessaires. Par crainte de mourir, plus personne ne vivrait. ⁂ La si

16 partie à fabriquer les instruments et à payer les impôts nécessaires. Par crainte de mourir, plus personne ne vivrait. La situ

17 partie à fabriquer les instruments et à payer les impôts nécessaires. Par crainte de mourir, plus personne ne vivrait. La situ

18 es sont raisonnables, à faire crédit, à payer nos impôts , à exiger des fonctionnaires décents, à trouver drôles plutôt que rid

19 n faveur des ouvriers et des paysans ; et que les impôts prennent les proportions d’une confiscation de capital ; et que la vi

20 mais ne se manifeste plus que par les feuilles d’ impôt , l’armée et la police ; où tout principe d’union sociale et spirituel

21 retient d’ailleurs une bonne moitié sous forme d’ impôts . Mais ce qui reste suffit pour une vie raisonnable. L’auteur d’Autant

22 Et bornons-nous à quelques sujets brûlants. Les impôts . — En France, il est bien vu de tricher avec le fisc. Non seulement o

23 beaucoup des mille complications de sa feuille d’ impôts (et cependant il n’en a qu’une, tandis qu’un grand industriel françai

24 es sont raisonnables, à faire crédit, à payer nos impôts , à exiger des fonctionnaires décents, à trouver les gens drôles plutô

25 les cantons). La commune a le droit de lever des impôts , et parfois même d’exiger des services personnels ou corvées. Elle po

26 a lutte qu’il a entreprise contre l’institution d’ impôts fédéraux et pour la réduction de l’appareil bureaucratique semble jus

27 durée des périodes d’instructions militaires, les impôts . Il serait donc injuste d’affirmer que le Parlement manque de contact

28 Instruction, distraction 6 % Assurances 7 % Impôts 4,5 % Dépenses de société 3,5 % (À quoi s’ajoutent, d’après les s

29 17,4 milliards. Si l’on soustrait le montant des impôts directs, qui ont triplé durant la même période, on constate que le re

30 % selon les catégories. Si l’on tenait compte des impôts directs, la différence serait encore plus frappante. La part du reven

31 s et enfants. Un exemple typique le fera voir : l’ impôt que doit payer tout Suisse qui n’accomplit pas de service militaire e

32 des activités d’un bon citoyen : voter, payer les impôts , améliorer les conditions de la communauté locale, choisir un parti o

33 ’est-ce que le droit de vote ? ou Qu’est-ce que l’ impôt  ? le manuel américain dit : Comment voter ? ou Comment payer ses impô

34 ricain dit : Comment voter ? ou Comment payer ses impôts  ? Et surtout, il apprend à l’élève comment chercher à comprendre les

35 atives de la couronne, ni compagnie des Indes, ni impôts de trois schellings par livre sur son champ et sur son pré, et d’un s

36 s « antisociales » des États (conquêtes, guerres, impôts et armements toujours plus lourds, hausse des prix) ne peuvent être e

37 le pouvoir de lever sur la confédération tous les impôts qu’il jugera nécessaires. Toutes les entreprises d’une utilité généra

38 individualiste qui ruine la base de son système d’ impôts , du recrutement de ses armées, et d’une manière plus générale, des di

39 ndustriels diminuent d’autant le montant de leurs impôts . Finalement, c’est l’État qui fait le sacrifice, mais l’habitude est

40 les Suisses, ses sujets « immédiats », paient les impôts et reconnaissent les tribunaux impériaux, est vaincu lors des guerres

41 les cantons). La commune a le droit de lever des impôts , et parfois même d’exiger des services personnels ou corvées. Elle po

42 scolaire. Leur traitement, d’ailleurs soumis à l’ impôt , ne permet qu’un train de vie modeste, et pendant longtemps, pour plu

43 a durée des périodes d’instruction militaire, les impôts fédéraux. Il serait donc injuste d’affirmer que le Parlement manque d

44 , distraction 3,4 6 9,4 Assurances 2,7 7 11,7 Impôts 2,4 4,7 3,7 Soins d’hygiène 2,2 3,5 5,5 (À quoi s’ajoutent des dé

45 ou libres et vivant des dons des fidèles ou d’un impôt ecclésiastique facultatif, les Églises forment des unités cantonales,

46 bien à quelles sociétés il cotise, où il paie ses impôts , qui est de sa paroisse et quels sont les paysages de son cœur, et au

47 par la publicité, par la mode, par les feuilles d’ impôt . Nous sommes pris, de plus en plus, par des réseaux de règles dont le

48 sations ! où je peux voter ! où je dois payer mes impôts  ! Tout cela est parfaitement clair, il n’est pas du tout difficile de

49 bien à quelles sociétés il cotise, où il paie ses impôts , qui est de sa paroisse et quels sont les paysages de son cœur. Et au

50 bien à quelles sociétés il cotise, où il paie ses impôts , qui est de sa paroisse et quels sont les paysages de son cœur. Et nu

51 autre part près de 34 millions de couronnes par l’ impôt sur les spectacles.) Un autre exemple frappant de l’insuffisance des

52 ser la même religion, la même économie, les mêmes impôts d’après la langue. Nous avons parfaitement conçu tous ces mélanges et

53 rtie d’un certain nombre de sociétés. Je paie des impôts à une dizaine de sources différentes. Donc, rien n’est plus simple. A

54 consacrer pour payer sa voiture, son essence, ses impôts , son garage, etc., tant de journées de travail, qu’au total ses 10 00

55 % de la population de l’Espagne) fournit 50 % des impôts de tout le pays et ne reçoit en retour que 12 % de subventions de l’É

56 de faire partie d’un État plus grand qui lève ses impôts , se moque de ses allures et de son dialecte… Il est peut-être temps q

57 vique, qui nous concerne tous : pas seulement nos impôts , mais nos droits civiques, et pas seulement l’environnement mais ce q

58 européenne de la culture une exonération totale d’ impôts sur le revenu et la fortune, pour cinq ans. Enfin, le 1er avril, le C

59 blir la justice, maintenir l’ordre, collecter les impôts . Mais il a eu vite fait de s’en trouver d’autres. Aujourd’hui il diri

60 utre 20 % sur le prix du billet, et x % sur leurs impôts ) le temps de se reposer, de réfléchir, ou de lire mes livres par exem

61 utre 20 % sur le prix du billet, et x % sur leurs impôts ) le temps de se reposer, de réfléchir, ou de lire mes livres par exem

62 sion aux communes françaises d’une large part des impôts versés en Suisse par les frontaliers, on peut aussi parler d’une régi

63 nt impossible d’accepter les moindres hausses des impôts existants… Les grandes villes seront alors pratiquement en état de ce

64 ent plus rien, lui donnent le moins possible (les impôts ) mais en attendent toutes sortes d’avantages qu’ils appellent droits

65 utre 20 % sur le prix du billet, et x % sur leurs impôts ) le temps de se reposer, de réfléchir, ou de lire mes livres par exem

66 dre de leur souveraineté. Ils en ont fait par les impôts de toute nature, la source principale de leur richesse ; ils l’ont d’

67 es intérêts, par le jeu des tarifs douaniers, des impôts , des réquisitions de temps de guerre et des lois contre les cartels,

68 ur payer sa voiture, son essence, son garage, ses impôts , de consacrer tant de journées de travail qu’au total ses 10 000 km l

69 qu’ils sont seuls en mesure de financer grâce aux impôts qu’ils lèvent sur les hydrocarbures, et abusant de ce monopole pour a

70 s quelque chose d’essentiel, c’est bien moins les impôts à payer que les mensonges qui les motivent. Qu’il s’agisse des Pouvoi

71 médiat de tel ou tel. Les contraindre à payer des impôts , à donner à l’armée des années de leur jeunesse, parfois, leur vie. L

72 puissent être jamais mis en question — comme les impôts et le service militaire — et en vue d’objectifs dont on paraît admett

73 ute : l’État-nation est là pour faire la guerre. Impôts et service militaire On peut et l’on doit dire de ces deux « nécessit

74 niront. « Les rois capétiens ne pouvaient lever l’ impôt , les Bourbons ne pouvaient exiger le service militaire. » (B. de Jouv

75 t de l’État diminué des dépenses d’armements, les impôts seraient réduits d’un tiers. Sans impôts excessifs, moins de fraudes

76 nts, les impôts seraient réduits d’un tiers. Sans impôts excessifs, moins de fraudes et d’activités judiciaires. L’interdictio

77 donner et casser la loy », par celui de lever des impôts ou d’en exempter les sujets, de « connaître en dernier ressort des ju

78 pour illustrer cette thèse. Dénonçant le projet d’ impôt spécial pour secourir les victimes de la grande sécheresse, il s’écri

79 ’État c’était nous, tout changerait aussitôt. Les impôts ne seraient plus qu’une partie de nos dépenses normales pour nos retr

80 nds commis ou simplement « Inspecteur central des impôts à l’Inspection fusionnée d’assiette et de contrôle ». Il est courant

81 ue l’État fait les lois, fait la guerre, lève les impôts et prépare notre avenir, qui sera nucléaire ou ne sera pas129. L’Inte

82 de faire partie d’un État plus grand qui lève ses impôts , se moque de ses allures et de son dialecte ?… Il est peut-être temps

83 ique ? Qui aura charge de répartir le produit des impôts levés dans la région ? Finalement, où sera la région donnant un nom e

84 ; à remplacer la solidarité par l’alignement et l’ impôt , les relations entre prochains par la proximité forcée, la solitude f

85 il donne comme exemples le service militaire et l’ impôt  ; les gens n’aiment pas ça, il faut les y contraindre. C’est là que j

86 ue les rois de France n’avaient jamais pu lever d’ impôts , ni obliger leurs sujets au service militaire. C’est très curieux. Il

87 pourtant un gouvernement de la France, mais pas d’ impôts , ce n’était pas possible, et pas de service militaire obligatoire. Ça

88 lleurs français y sont employés. Ils paient leurs impôts en Suisse et cela crée des problèmes pour les municipalités française

89 ue et canton de Genève qu’une part importante des impôts payés à Genève par les quelque 24 000 travailleurs frontaliers venant

90 étatique dans l’ère moderne : celui de lever des impôts réguliers. Il s’agit là d’une « première » dans notre histoire europé

91 d’en donner aussitôt comme exemples la levée des impôts et le service militaire. Or il se trouve que de nombreuses études his

92 t des siècles, n’eurent pas le pouvoir de lever l’ impôt , sinon à titre exceptionnel pour contribuer à couvrir les frais d’une

93 ni l’épuisement des ressources, ni la hausse des impôts , ni l’inflation, ni même la croissance du chômage. Le pire danger est

94 s », comme la conquête, les guerres, la levée des impôts , les armements toujours plus lourds et la hausse des prix, ne peuvent

95 s », comme la conquête, les guerres, la levée des impôts , les armements toujours plus lourds et la hausse des prix, ne peuvent

96 ationale, le contrôle préfectoral et la levée des impôts au nom et au profit de la seule capitale et des seuls intérêts du par

97 ERN, parce que — me dit-il — il doit payer 25 % d’ impôts et 45 % de licence, de patente et autres droits qui l’empêchent de co

98 ue et canton de Genève qu’une part importante des impôts payés à Genève par les travailleurs frontaliers se trouve reversée au

99 étatique dans l’ère moderne : celui de lever des impôts . Il s’agit là d’une « première » dans notre histoire européenne. Qu’e

100 Comment la concevoir ? Il faut que le revenu de l’ impôt aille aux communes et qu’elles en reversent une petite partie à la ré

101 uellement, celui-ci récupère 81 % du produit de l’ impôt et les collectivités locales 19 % seulement. En Suisse, c’est tout le

102 d’où le sauvetage de grandes forêts ; calcul des impôts  ; lancement des fusées spatiales… Pour ne rien dire (bien que ce soit

103 , d’où le sauvetage de grandes forêts. Calcul des impôts . Lancement de fusées spatiales… Pour ne rien dire (bien que ce soit p

104 es intérêts, par le jeu des tarifs douaniers, des impôts , des réquisitions de temps de guerre et des lois contre les cartels,

105 tions : état civil (baptêmes, mariages), taxes et impôts , banque. L’administration est donc exercée par l’Église. L’empire n’a

106 seulement régir l’administration et percevoir les impôts , mais qu’il exige l’adhésion sentimentale et enthousiaste de toute la

107 eulement les questions d’état civil, d’armée et d’ impôts , mais aussi les questions religieuses : c’est à ce moment qu’on voit

108 rontières, par les visas, par les quotas, par les impôts  ; persécution des minorités culturelles ; conformisme idéologique imp