1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
1 , c’est ce que l’on aurait peine à exagérer. Il n’ implique pas seulement qu’une nouvelle classe bourgeoise exige désormais le re
2 ravail de ses mains. La mentalité de cette classe implique en outre une exigence morale, adressée à la société tout entière ; et
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
3 ent, comme je le crois, que la liberté de l’homme implique son effort pour surmonter les illusions de la panique primitive, et l
3 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Préambule
4 s 1° En soulignant l’opposition que cette formule implique aux conceptions courantes de « l’esprit », de l’intelligence, et de l
4 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
5 acte réel que celui que l’on pense, et ma formule implique la primauté de la pensée en toute action, non moins que la nécessité
6 au salut. Nous tenons ici la première supposition impliquée par la maxime bourgeoise de Montaigne : c’est l’impartialité nécessai
7 ter quelque peu sur les suites politiques qu’elle implique . Je vois le risque de ce développement ; et je crains qu’il n’emporte
5 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
8 s mots, le rythme, les figures. Que chaque phrase implique ce but, et le désigne par son allure même. Que le style s’ordonne à s