1 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
1 ir de 1528 le chef politique et religieux le plus important non seulement de la Confédération, mais de toute l’Allemagne du Sud.
2 rédigeaient ses discours, et qui jouèrent un rôle important dans les coulisses de la Convention. Au repliement politique et socia
2 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
3 c le rôle d’un ministre. Cependant, les décisions importantes émanent du collège dans son ensemble, trait particulier à la Suisse,
4 ou telle localité. » Cette dernière remarque est importante  : elle nous fait entrevoir la condition des libertés civiques dans un
5 rand nombre de révisions partielles, dont la plus importante fut votée par le peuple en 1874. Cette Constitution mérite non seulem
6 des cantons ou de la Confédération. Les décisions importantes du gouvernement émanent du Conseil fédéral en son entier (même si ell
3 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
7 sciences ou de littérature, y tiennent une place importante , en première page. Quant à la radio, écoutée par un habitant sur cinq
4 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
8 du pays n’a guère varié depuis la Réforme. Mais d’ importantes modifications se sont manifestées dans la répartition géographique de
5 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
9 uence de notre voisinage soit et ait toujours été importante , mais ils finissent le plus souvent par désavouer nos principes et, s
10 i nous relient aux territoires culturels les plus importants dans l’histoire de l’Occident. Le Gothard divise et unit à la fois ce
11 al de la neutralité. Deux facteurs psychologiques importants tendent à entraver la participation de la Suisse en tant qu’État aux