1
si les mots d’ordre sont faux ? Si l’ordre qu’ils
imposent
est arbitraire, ou s’il ne mise que sur l’indignité humaine ? Et si l
2
ces gouvernements libéraux qui, par crainte de s’
imposer
ou par ignorance de ce qu’il faudrait imposer, se contentent d’un opp
3
e s’imposer ou par ignorance de ce qu’il faudrait
imposer
, se contentent d’un opportunisme à la petite semaine, et ménagent les
4
es et sans ampleur, des « noms » qu’un seul livre
imposa
, et l’on acceptait les suivants parce que c’était commode, et parce q
5
os bons écrivains, M. Arnoux, de n’avoir pas su s’
imposer
« avec assez de force au public ». Car, précisait-il, « on sait que l
6
e chose à dire ; le but de l’écrivain, c’est de s’
imposer
avec force au Public. Et cela demande de la tactique ! Je le vois bie
7
propriétaires qui tiennent la région, et de leur
imposer
des mesures de progrès, de bon sens… — Au point de vue des classes, d
8
celle des grands journaux d’information. On leur
impose
une mystique confectionnée à l’usage des moujiks… Quel est l’homme sa
9
ffort de restauration morale — et sociale — qui s’
impose
aux nouvelles générations. Par les menues expériences d’une vie dimin
10
bien il accepte les disciplines d’action que lui
impose
son parti, et qui comportent la haine et le mensonge : mais alors pou
11
avec la pauvreté pleine de sens et de grandeur qu’
imposait
la Loi d’Israël. Ce que l’on perd et ce que l’on gagne à sacrifier à