1 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
1 amertume, où de Traz quitte le ton mesuré qu’il s’ impose d’ordinaire. Mais j’avoue que m’a parfois un peu gêné cette présence
2 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (II) : La grande misère de l’édition (22 février 1937)
2 se faisaient un point d’honneur de découvrir et d’ imposer certains auteurs originaux, donc peu vendables au début. Aujourd’hui,
3 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Cinquième lettre aux députés européens : « Méritez votre nom ! » (19-20 août 1950)
3 , mais l’union de nos sacrifices. Qui peut nous l’ imposer  ? Qui peut faire reculer les intérêts puissants, et parfois légitimes
4 1953, Journal de Genève, articles (1926–1982). Aller et retour (21 mai 1953)
4 le parallélisme qu’un tel texte suggère, et même impose à l’évidence, entre la situation de départ de l’Amérique et celle de
5 1955, Journal de Genève, articles (1926–1982). Pour un désarmement moral (19 juillet 1955)
5 ier est la force brutale : c’est le vainqueur qui impose à tous le sens des mots qu’il juge convenable. On se rappelle qu’au m
6 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Non, notre civilisation n’est pas mortelle ! » (30-31 août 1969)
6 es. Or nous constatons un gigantesque effort pour imposer aux Chinois une partie de la civilisation occidentale : le marxisme.
7 , des angles de vision qu’on lui propose et qui s’ imposent plus ou moins aux esprits et aux sensibilités. Mais encore faut-il se
7 1980, Journal de Genève, articles (1926–1982). Les journalistes sportifs ? On dirait qu’ils aiment les tyrans (31 mai-1er juin 1980)
8 cte sa loi », un peu comme si les grands sportifs imposaient leurs volontés les plus arbitraires à leurs adversaires. Les pages sp