1 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
1 me qui connaît les hommes ; cesse de s’en laisser imposer par les fameuses « nécessités de l’action » que de petits ambitieux d
2 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — En dernier ressort
2 ister longtemps dans l’effort périlleux de le lui imposer de force. On a vu de ces fous : mais ils n’ont triomphé que par l’abd
3 e condition de l’homme, et les conditions qu’elle impose . C’est pourquoi, seul, il peut aider les hommes et prendre au sérieux
4 s, de partis pris accidentels, plutôt que de leur imposer un style indépendant de leur objet. Faire de la politique, ce n’est p
3 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
5 par l’exemple des dictatures ! L’ordre extérieur imposé par l’État, au moyen des violences qu’on sait, peut très bien n’être
4 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
6 eudo-scientifique et déterministe, comme celle qu’ impose actuellement le marxisme-léninisme, ne peut être que conservatrice. E
5 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite, (Fondements théologiques d’une action politique)
7 re immuable, de la mesure (ou hiérarchie) sociale imposée . C’est une doctrine pessimiste, une politique de la camisole de force
8 hrétien est dans l’instant, hic et nunc ; l’ordre imposé par une politique est dans l’évolution, dans la durée. Mais il faut q
6 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
9 naturel n’en pouvait distinguer ; et surtout elle impose un choix, d’ailleurs humainement impossible, là où l’homme naturel s’
7 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
10 meilleur ou sur le seul moyen d’en réchapper, — l’ imposer . Ce n’est plus pour quelque « idéal » que nous avons à lutter mainten
8 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
11 t humainement impossible au moment même où elle l’ imposait sur le plan de l’État. On ne le vit pas tout de suite : l’État commen
12 de facteurs plus ou moins abstraits, artificiels, imposés du dehors et purement statistiques. Le lien entre les hommes ne repos
13 milieu inerte lui propose ou que l’État veut lui imposer . Le héros véritable, la personne dans sa pureté, c’est l’obstacle irr
14 ebout, de l’homme en acte. Non pas une morale qui impose un certain nombre de vertus officielles, et qui prenne pour modèle le
9 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
15 e ? Si les hommes renoncent ? Si le confort moyen imposé par l’État détend tous les ressorts de la création personnelle ? S’il
10 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
16 s passions sans rapport aux idéaux qu’il s’agit d’ imposer — et ce sont les mêmes passions —, discourir dans les mêmes lieux et
11 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
17 s de la communauté. Elle n’est pas une obligation imposée par l’État ou la nation, mais, au contraire, l’État et la nation ne s
12 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
18 ément sacré reparaît dans une société et tend à s’ imposer par la force, comme ce fut le cas dès le xiie siècle, on se retrouve