1 1972, Les Dirigeants et les finalités de la société occidentale (1972). « Un monde fini »
1 che de l’homme contre le destin que la Nature lui imposait ont finalement permis chez quelques-uns, dans notre siècle, une premi
2 devait borner la croissance démographique. Elle s’ impose aujourd’hui à notre esprit réticent, à cause des succès mêmes de l’ex
3 ais il suffit que la notion de limite soit posée, imposée par les faits, pour qu’aussitôt surgissent les grandes questions : ve
2 1972, Les Dirigeants et les finalités de la société occidentale (1972). « Passer de la croissance à l’équilibre »
4 t mondial, encore inexistant, arrive jamais à les imposer par la force. Et puisqu’elles sont, comme l’auteur le répète, « contr
3 1972, Les Dirigeants et les finalités de la société occidentale (1972). « L’homme se voit contraint de choisir librement son avenir »
5 choisir librement son avenir » Une certitude s’ impose d’ores et déjà à notre esprit : c’est que l’humanité d’aujourd’hui se
4 1972, Les Dirigeants et les finalités de la société occidentale (1972). « Gagner le monde ou sauver son âme »
6 ’un pouvoir mondial ou même continental capable d’ imposer une politique, il reste à élaborer et à faire connaître des modèles d