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nte, l’espoir, la nostalgie du gain. Supposons un
individu
qui aurait désiré si longtemps que tout son être en fût devenu attent
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r le judéo-christianisme, par la notion grecque d’
individu
, par le droit romain, par le culte de la vérité objective, et malgré
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tion collectiviste. À l’excès de liberté chez les
individus
, répond mécaniquement un excès d’étatisme. Qui veut faire l’ange, ou
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ope comme un groupe absolutisé, comme un vulgaire
individu
dont la prétendue liberté ne connaît plus aucun scrupule. De même, on
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personne, car ses déviations perpétuelles vers l’
individu
sans devoirs ou vers le militant sans droits sont les vraies causes d
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sont en pleine réalité. Jamais les peuples ou les
individus
ne se sont unis à cause des richesses qu’ils avaient, tout au contrai
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ons que le type d’homme le plus souhaitable est l’
individu
isolé, dégagé de toute responsabilité vis-à-vis de la communauté. Car
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rien, si elles n’aboutissent pas à rendre chaque
individu
plus libre dans l’exercice de sa vocation. L’homme est donc à la fois
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favorisés par eux. À l’homme considéré comme pur
individu
, libre mais non engagé, correspond un régime démocratique tendant ver
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ne soit un moyen terme ou un juste milieu entre l’
individu
sans responsabilité et le soldat politique sans liberté. Car la perso
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lent l’un et l’autre. C’est avec la poussière des
individus
civiquement irresponsables que les dictateurs font leur ciment. Et no
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de l’homme commune aux peuples de l’Europe : ni l’
individu
sans devoirs ni le soldat politique sans droits, mais la personne à l