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l’art ou par le sport préparent les masses et les
individus
à des liturgies imprévues. Les religions de « divertissement » — au s
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vivants et les morts, les dieux et les démons. L’
individu
prend sa mesure, fragile et menacé, mortel et ignorant, il sait qu’il
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e y trouve la dignité morale qui était celle de l’
individu
selon les Grecs, et l’honneur de servir, qui était celui du citoyen r
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imitation de Jésus-Christ, vraie vocation et vrai
individu
, c’est-à-dire, une personne distincte, mais reliée en même temps par
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ble de problèmes, tant pour la société que pour l’
individu
. Au surplus, lié dès l’origine à la réalité de la personne, l’amour s
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st vouloir que la personne unique s’édifie dans l’
individu
. Cette règle d’or est la norme morale, par excellence, en tout domain
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la philosophie de la personne, c’est-à-dire de l’
individu
à la fois autonome et engagé — engagé, dans la communauté… Mais cette
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quer, c’est e-ducere, conduire dehors. Conduire l’
individu
, mais le conduire à lui-même tout autant qu’aux grands lieux communs
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réateur. La passion est le désir infini, lié à un
individu
. Et l’amour est la fin suprême, l’accomplissement de la personne tota
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ndrait pour l’espèce à ce qu’est l’âge mûr pour l’
individu
. « L’érotisme, c’est l’affaire des vieux », disent beaucoup de jeunes