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sorte de franc-maçonnerie de quelques centaines d’
individus
. Et cette franc-maçonnerie sera bientôt traquée avec la dernière rigu
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ent sa vie et son œuvre. Il n’y a peut-être pas d’
individu
plus significatif dans l’histoire de l’Occident moderne, c’est-à-dire
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xée par les grands fournisseurs. On prétend que l’
individu
se perd de plus en plus dans la masse anonyme. Je crois que c’est là
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rois que c’est là ce qu’il peut faire de mieux. L’
individu
, tel que le concevait le dernier siècle, l’homme isolé qui cultivait
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oits de l’homme, ne mérite pas qu’on le pleure. L’
individu
des libéraux, c’était, par excellence, un homme sans destin, un homme
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voir le salut de notre époque dans un retour à l’
individu
. L’individu est l’origine la plus certaine du triomphe des masses. C’
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ut de notre époque dans un retour à l’individu. L’
individu
est l’origine la plus certaine du triomphe des masses. C’est parce qu
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ertaine du triomphe des masses. C’est parce que l’
individu
des libéraux était sans destin, qu’il a cru au destin des autres ; c’
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utement organisé, une monstrueuse agglomération d’
individus
assemblés par la peur et la faim, et la haine, parqués dans des caser
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goïste et, en somme, assez lâche, qu’on appelle l’
individu
. Il faut aller plus loin : les mythes collectifs n’expriment rien de
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âches immédiates. La personne, au contraire, de l’
individu
perdu dans l’Histoire, vit d’instant en instant, d’une tâche à une au
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de la masse et les outrages divers encourus par l’
individu
, les Puissances anonymes et le Standard seraient en voie de triompher
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tte crise que l’on dit sans précédent, que fait l’
individu
pour se défendre ? Et quels titres à l’existence vient-il produire ?
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is mots qui faussent tout : anarchie, romantisme,
individu
. Il n’est que de les mesurer à la réalité dernière de l’homme. Qu’est
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toi et le monde, par exemple ; ou encore entre l’
individu
et le Sort, cette idole païenne ? C. M. — J’ai besoin de le croire p
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terme le conflit qui oppose la collectivité et l’
individu
dans le plan de la société. Et de même que l’œcuménisme retrouve la p
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ersonnalisme. Cherchons à illustrer les notions d’
individu
, de collectivité, et de personne par des exemples historiques suscept
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emples historiques susceptibles de faire image. L’
individu
est une invention grecque, et sa naissance signale la naissance même
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el à une communauté nouvelle et plus solide, où l’
individu
isolé retrouve des contraintes qui le rassurent, et où l’État reprend
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. Il s’agit plutôt d’une succession inévitable. L’
individu
ne s’oppose à l’État qu’à la manière dont le vide s’oppose au plein :
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, sa « mise au pas ». C’est avec la poussière des
individus
que l’État fait son ciment. Mais cet État centralisé, cette unité rig
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’Éternel. Cet homme d’un type nouveau n’est pas l’
individu
grec, puisqu’il se soucie davantage de servir que de se distinguer. I
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nt : la personne n’est pas un moyen-terme entre l’
individu
trop flottant et le soldat politique trop esclave. Elle est l’homme i
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re possible entre l’anarchie et l’unité forcée, l’
individu
et l’État. Mais dès qu’intervient la transcendance, il y a mieux qu’u
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. Car les tâches civiques y sont à l’échelle de l’
individu
et l’engagement concret dans la communauté y devient donc possible. D
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ger de groupe. L’on n’est donc pas isolé, comme l’
individu
se trouve isolé dans une grande ville moderne ou dans un vaste État c
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nique ; au couple de frères ennemis que forment l’
individu
déraciné et la masse totalitaire, le couple de frères amis que formen
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une masse informe et grossièrement encadrée, les
individus
privés de leur conscience normale. Du point de vue sociologique, la r
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ne attitude personnaliste, au-delà de l’antinomie
individu
isolé-masse militarisée. 5. La théologie de l’œcuménisme, la philosop