1
éal bourgeois, synthèse eudémonique à l’usage des
individus
égoïstes, d’autre part à l’idéal marxiste, synthèse eudémonique à l’u
2
Grammaire de la personne (janvier 1934)f L’
individu
, tel que les libéraux — en politique — et les idéalistes — en philoso
3
de la personne, telle qu’on peut l’opposer à cet
individu
, et du prochain, tel que le définit l’Évangile ; d’autre part, certai
4
aussi laïque ou religieuse qu’on voudrait. Mais l’
individu
a vécu, nous dit-on… Il faut craindre la mort des mythes : elle n’est
5
mythes : elle n’est jamais qu’une métamorphose. L’
individu
n’est mort que pour renaître dans le collectif. La mystique de la mas
6
n l’oppose à la masse anonyme, tout autant qu’à l’
individu
atomique. Le vœu humain paraît comblé… Mais ce nous est-il autre chos
7
Ainsi le phénomène personnel demeure situé dans l’
individu
, mais dans un individu transformé, orienté, animé par une présence ex
8
onnel demeure situé dans l’individu, mais dans un
individu
transformé, orienté, animé par une présence extérieure. Face à face a
9
risque. La personne est aussi, par conséquent, l’
individu
moral, l’individu social par excellence. Mais dans son acte seulement
10
ne est aussi, par conséquent, l’individu moral, l’
individu
social par excellence. Mais dans son acte seulement, c’est-à-dire dan
11
t que le lieu des points équidistants de tous les
individus
qui composent le groupe. Un lieu parfaitement abstrait. 9. Aux indiv
12
e passivité, proclamé par la Renaissance, c’est l’
individu
autonome. L’esprit contre le corps, telle est la dialectique moderne,
13
avons tenté de suivre la logique fatale, isole l’
individu
dans un monde désert ; alors que l’un et l’autre divisent l’homme en