1 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
1 éal bourgeois, synthèse eudémonique à l’usage des individus égoïstes, d’autre part à l’idéal marxiste, synthèse eudémonique à l’u
2 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
2 Grammaire de la personne (janvier 1934)f L’ individu , tel que les libéraux — en politique — et les idéalistes — en philoso
3 de la personne, telle qu’on peut l’opposer à cet individu , et du prochain, tel que le définit l’Évangile ; d’autre part, certai
4 aussi laïque ou religieuse qu’on voudrait. Mais l’ individu a vécu, nous dit-on… Il faut craindre la mort des mythes : elle n’est
5 mythes : elle n’est jamais qu’une métamorphose. L’ individu n’est mort que pour renaître dans le collectif. La mystique de la mas
6 n l’oppose à la masse anonyme, tout autant qu’à l’ individu atomique. Le vœu humain paraît comblé… Mais ce nous est-il autre chos
7 Ainsi le phénomène personnel demeure situé dans l’ individu , mais dans un individu transformé, orienté, animé par une présence ex
8 onnel demeure situé dans l’individu, mais dans un individu transformé, orienté, animé par une présence extérieure. Face à face a
9 risque. La personne est aussi, par conséquent, l’ individu moral, l’individu social par excellence. Mais dans son acte seulement
10 ne est aussi, par conséquent, l’individu moral, l’ individu social par excellence. Mais dans son acte seulement, c’est-à-dire dan
11 t que le lieu des points équidistants de tous les individus qui composent le groupe. Un lieu parfaitement abstrait. 9. Aux indiv
3 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
12 e passivité, proclamé par la Renaissance, c’est l’ individu autonome. L’esprit contre le corps, telle est la dialectique moderne,
13 avons tenté de suivre la logique fatale, isole l’ individu dans un monde désert ; alors que l’un et l’autre divisent l’homme en