1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
1 ques (nationalisme, SDN, etc.), condamnation de l’ individu , de la « pensée » bourgeoise (la pensée sans douleur !), des méthodes
2 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Dictature de la liberté, par Robert Aron (mars 1936)
2 ne ; fédéralisme et étatisme ; enfin, personne et individu . Cette dernière « tension », à laquelle se ramènent toutes les autres
3 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Monastère noir, par Aladár Kuncz (janvier 1938)
3 nier proprement dit, mais, peu ou prou, de chaque individu soumis aux lois d’une collectivité délirante. Sur la foi d’affiches o
4 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
4 ndrait pas à l’Histoire, mais au Mythe. De même l’ individu ne devient une personne que par l’unicité que lui confère sa vocation
5 ransitoire d’un corps magique sans fin. Combien d’ individus sont-ils donc nés et morts depuis qu’il y a des hommes sur cette plan
6 elles demeurent seules visibles et concevables. L’ individu , en revanche, disparaît et s’annule. La même raison veut que les « lo
7 -même. Solution masochiste, pour un Occidental. L’ individu trouve le défi trop lourd. Dans un cosmos qui se calcule en centaines
5 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
8 nouveau, à l’ens sibi suscité par l’esprit dans l’ individu naturel. Pour Descartes, le vrai moi c’est « l’âme », mais il s’agit
9 », par là douée d’une liberté que n’aura jamais l’ individu , simple objet du déterminisme universel. Et quant à la science d’aujo
10 pule la personne et tout ce qu’elle n’est pas — l’ individu , la persona, la « forte individualité », l’âme sensitive, l’intellect
11 s langages, entre les phénomènes et le noumène, l’ individu et la personne, l’âme et l’ange, l’ego et le Soi. Observons que les t
12 ’une bipolarité, d’une tension permanente entre l’ individu et le « vrai moi ». (L’individu n’est pas le mal en soi : il ne devie
13 ermanente entre l’individu et le « vrai moi ». (L’ individu n’est pas le mal en soi : il ne devient mauvais que dans la seule mes
14 me, l’amour de soi est le rapport positif entre l’ individu et le vrai moi. Le second commandement qui résume toute la Loi et les
15 ions humaines et prennent à partie, un à un, tout individu tel qu’il est, décidées à le transformer en vérité85. Elles provoquen
16 de vocation personnelle accomplie aux dépens de l’ individu est loin d’être absente de la Bhagavad-Gita : Sois détaché et accomp
17 me génétique insondablement plus ancien que notre individu naturel, et qui lui survivra dans le cours des siècles, sans surprise