1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
1 devenue la loi inexorable et mécanique qui plie l’ individu à des calculs de masses, à des disciplines extérieures, à des ambitio
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
2 nt de la sorte une base commune à l’existence des individus . On peut estimer qu’il y a là une fausse communauté, une fausse répon
3 qualifiés pêle-mêle de saboteurs.   Valeur de l’ individu . — L’homme ne vaut que par son activité au service du peuple ou du pr
4 , on s’efforcera de démontrer que d’autant plus l’ individu se sacrifie au Parti, d’autant plus il acquiert de valeur personnelle
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Leçon des dictatures
5 mission. Il fallait partir d’autre chose que de l’ individu  : de l’état, de la classe ou de la race. Vous vous êtes refait un cor
4 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
6 d’une conception du monde fondée sur la raison, l’ individu , et la science cartésienne. Nous savons aujourd’hui que la raison n’e
7 raison n’est pas un idéal, mais un outil ; que l’ individu n’est rien que la liberté du désespoir, et qu’il meurt de son isoleme
8 création toujours nouvelle le vieux conflit de l’ individu et de la masse. 6° La violence nécessaire. — Car notre force est pers
5 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
9 et l’objet, entre le cerveau et la main, entre l’ individu pensant et toute espèce de responsabilité. Lorsqu’un clerc invoquera
10 ne seront pas, de longtemps, réunies dans un seul individu , le savant s’en voudrait de poser, au terme de ses descriptions, autr
6 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
11 n’est point par la culture de l’« esprit » que l’ individu se développe, mais par l’incarnation de plus en plus complexe du spir
12 ersonne se distingue de la masse, mais aussi de l’ individu , le style d’une pensée active se distinguera par une double oppositio
13 sique et de l’angoisse sociale qui nous obsèdent. Individu et masses, telles sont les déviations d’une tradition qui se fondait
14 a distinction fondamentale de la personne et de l’ individu , ni la définition philosophique de la personne : il me suffit d’avoir
15 aussi laïque ou religieuse qu’on voudrait. Mais l’ individu a vécu. Ce mythe n’est plus à craindre que sous sa forme négative : l
16 n une réponse, ne se pose par ailleurs que dans l’ individu aux prises avec son entourage humain98. Ses données me sont extérieur
17 mmunauté, en ceci qu’elle est l’acte par lequel l’ individu répond à la question que lui pose son prochain. Et à l’inverse, le bu
18 n l’oppose à la masse anonyme, tout autant qu’à l’ individu atomique. Le vœu humain paraît comblé… Et l’on croirait qu’il l’est à
19 Ainsi le phénomène personnel demeure situé dans l’ individu , mais dans un individu transformé, orienté, animé par une présence ex
20 onnel demeure situé dans l’individu, mais dans un individu transformé, orienté, animé par une présence extérieure qui le questio
21 risque. La personne est aussi, par conséquent, l’ individu moral et social par excellence ; mais dans son acte seulement, c’est-