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ail » du vivre goethéen n’ayant de fin que dans l’
individu
le plus parfait de son espèce, dont le sépare enfin cette perfection…
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renvoient pas même l’écho. Nous sommes là, petits
individus
, devant ce qu’on nomme les « masses », exprimant par cette métaphore
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; mais sans agir, elle n’est pas vraie pensée. L’
individu
ne saurait s’accomplir qu’en relation avec l’espèce, mais l’espèce ne
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spèce ne peut avancer que sur la trace des grands
individus
. La définition même de l’homme, ce qu’il a proprement d’humain, c’est
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’importance respective des deux pôles, société et
individu
, a varié depuis Goethe d’une manière appréciable. Les suites et les r
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omme un vertige fascinant à l’intérieur de chaque
individu
qui voulait se saisir en soi : ainsi Werther se jette dans le suicide
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les plantes : loi de la forme organisatrice de l’
individu
autonome. ⁂ Inverser les données du problème goethéen, tout en se mai
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La tension se produit de nouveau entre les pôles
individu
et société. Mais sa résultante change de signe : elle pointe sa flèch
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de devenir Goethe. Il doit montrer l’exemple d’un
individu
qui a su tirer du monde où il est né les nourritures les plus richeme