1 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
1 est au terme du progrès, de l’évolution de notre individu . Les nazis corrigent : de la race. C’est encore un progrès « scientif
2 our désigner l’absence d’âme personnelle chez les individus charriés par les mouvements mécaniques d’une foule ? L. hoche la tête
3 nature, on sent très bien qu’elle n’est pas de l’ individu , et même qu’elle ne saurait se manifester qu’autant que l’individu ne
4 qu’elle ne saurait se manifester qu’autant que l’ individu ne compte plus, n’existe plus, n’est que le support d’une puissance q
5 l’« éducation » des esprits ; même défiance des «  individus  » et de tout « intérêt privé ». Ce parallélisme, ou plutôt cette iden
6 llement je le trouverais plutôt sympathique comme individu . Vous, au contraire… Nous voilà bien avancés ! 16. (Note de 1938.) D
2 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
7 t abstraitement des masses inorganiques, dont les individus n’ont en commun que l’argent ou le défaut d’argent ; où les partis se
8 ar les masses et que s’installe au cœur de chaque individu une angoisse, — d’où naît un appel. C’est à ce formidable appel des p
9 ar ce qui compte, c’est la Nation, et non pas les individus . Or la Nation, pratiquement c’est l’État. Et cet État est né de la gu
10 amental, c’est celui que nous pose l’angoisse des individus isolés, et l’appel religieux qui naît de cette angoisse — même s’il e