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le civisme est faible ; il est fort des lâchetés
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, répercutées dans le pouvoir établi ; et demain, s’il triomphe chez n
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e sera jamais que la somme exacte de nos lâchetés
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, c’est-à-dire de nos égoïsmes. 2° Il nous faut refaire une commune me
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ées et démoralisées. Enfin je vous citerai un cas
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assez typique. Un grand banquier de Paris, membre d’un comité de bien
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nt confus. Plus rien n’est à la mesure de l’homme
individuel
. Quand nous regardons en arrière, nous nous disons : les intellectuel
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rit le règne de la masse comme celui des lâchetés
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additionnées, créant un champ illimité aux dictatures collectivistes.
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te des normes de nos conduites, sociales d’abord,
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finalement. Pense-t-on, peut-être, que la morale tomberait alors dans