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, le geste de Martin, détaché de ses considérants
individuels
, s’isole comme un signal de rupture consommée. Tout homme qui agit, s
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un essai de réaffirmation de la responsabilité «
individuelle
». Mais je me méfie de cet « individu », pour des raisons sur lesquel
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ommune mesure donnant un sens aux moindres tâches
individuelles
qu’elle situe dans un tout grandiose et coloré ainsi d’héroïsme, écla
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t de la Renaissance, à la montée de la conscience
individuelle
dans l’Europe du xvie siècle. Mais elle agit en sens inverse. Elle a
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pas de sens pour nous. Elle ne sera pas non plus
individuelle
: on ne peut pas ressusciter des mesures mortes. Je dis qu’elle sera
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airement privée de « morale » d’un lamentable cas
individuel
? Mais alors : veut-on ma compassion pour un héros malade ou mon admi
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té simultanée de notre science et de la « veine »
individuelle
. C’est l’un ou l’autre ; ou mieux, l’un contre l’autre. La religion l
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uperstitions, ce serait avouer ce qu’on a de plus
individuel
, de plus irréductible au général. Mais voilà l’étonnant de l’aveu : c
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rs Si l’on craint d’ordinaire d’avouer sa réalité
individuelle
et ses superstitions, c’est sans doute en vertu d’une prudence qui es
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a politique doit aller à l’encontre de la réalité
individuelle
, et c’est pour elle la seule manière d’être en vérité « réaliste ». J
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respectaient les principes éternels, — la liberté
individuelle
, — l’intellectualisme, — la pensée solitaire, — et le bonheur. Tandis
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telle qu’il la développait pour ses fins propres,
individuelles
, individualistes. « Le moi est anéanti, écrit M. Lamm, tous les trait
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de l’homme pour transcender son petit personnage
individuel
ou sociologique, et se mettre au service de quelque chose qui le dépa
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e nous aimons à dire. Elles sont d’usage interne,
individuel
. Les doutes que Ramuz nous proposent touchent au contraire les fondem
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es pays démocratiques, et par suite les problèmes
individuels
déterminent de plus en plus le choix réciproque des conjoints. D’où l
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se fonder, désormais, que sur des déterminations
individuelles
. C’est-à-dire qu’il repose en fait sur une idée individuelle du bonhe
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s. C’est-à-dire qu’il repose en fait sur une idée
individuelle
du bonheur, idée que l’on suppose commune aux deux conjoints dans le
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géniques, et dans une atmosphère où les problèmes
individuels
tendaient à perdre toute espèce de dignité, de légitimité et de virul
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e suppose toute morale du « bonheur » strictement
individuelle
. Or la dictature hitlérienne, du fait qu’elle prétendait se fonder su
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giques, rigoureusement indépendants des « goûts »
individuels
, donc des passions. À chacun sa « fiche de mariage ». Alors la scienc
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s et collectifs, qui échappent en partie aux vues
individuelles
. Le « signe » de la crise du mariage nous parle et nous avertit mieux