1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 ue Rimbaud, mais, croyons-nous, dans leur habitus individuel bien plus que dans leur commune grandeur. Seule la croyance en une an
2 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
2 obablement l’unique remède. C’est comme la genèse individuelle et religieuse de ce fait trop actuel, qu’Albert-Marie Schmidt nous re
3 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
3 qui trahirait la vraie personne dans ce complexe individuel . D’autant plus que certains détails, certaines allusions, et beaucoup
4 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
4 de l’existence de Dieu. Mais il croyait à l’homme individuel , et cette croyance est née de la synthèse du christianisme. Elle n’ex
5 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
5 salut et qu’il tienne lieu de but suprême. Succès individuel ou collectif d’ailleurs ; mais le premier sent la tricherie. 59. Lit
6 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
6 nge pour nos psychologues ? Une projection du moi individuel ou collectif. Pour les sages de l’Iran, il est ce moi. Barakat, juif
7 sé à l’islam, écrit en 1165 : « … pour chaque âme individuelle , ou peut-être pour plusieurs ayant même nature ou affinité, il y a un
8 oniques du bouddhisme : il faut éteindre le désir individuel , cause de l’erreur, des souffrances et de la mort, dissiper cet écran
9 hnouites et shivaïtes, en Inde, admettent une âme individuelle mais « obscurcie » par son union avec le corps. Elle doit tendre à se
10 corps. Elle doit tendre à se libérer du phénomène individuel au lieu que l’âme chrétienne doit le transfigurer, — d’où la « résurr
11 vers la personne singulière retombe au plan de l’ individuel , du générique. Capté par l’instinct qu’il excite au-delà des exigence
12 r les névroses qui s’attaquent à nos « agrégats » individuels  : le cosmos actuel tout entier semble résulter — selon leurs sages —
13 et fondue dans le Soi : « Tu es Cela ». Le drame individuel est noyé dans le Tout. Mais le Tout est le contraire du drame. Tous l
14 s éphémères, leur mort et transfiguration ; — à l’ individuel aboli par une longue aspiration de l’Atman, le personnel éternisé par
15 le jusqu’au bout ! Pour lui la Réalité est dans l’ individuel , et l’Être dans les raisons d’être des uniques. Or ce choix est celui