1
ue Rimbaud, mais, croyons-nous, dans leur habitus
individuel
bien plus que dans leur commune grandeur. Seule la croyance en une an
2
obablement l’unique remède. C’est comme la genèse
individuelle
et religieuse de ce fait trop actuel, qu’Albert-Marie Schmidt nous re
3
qui trahirait la vraie personne dans ce complexe
individuel
. D’autant plus que certains détails, certaines allusions, et beaucoup
4
de l’existence de Dieu. Mais il croyait à l’homme
individuel
, et cette croyance est née de la synthèse du christianisme. Elle n’ex
5
salut et qu’il tienne lieu de but suprême. Succès
individuel
ou collectif d’ailleurs ; mais le premier sent la tricherie. 59. Lit
6
nge pour nos psychologues ? Une projection du moi
individuel
ou collectif. Pour les sages de l’Iran, il est ce moi. Barakat, juif
7
sé à l’islam, écrit en 1165 : « … pour chaque âme
individuelle
, ou peut-être pour plusieurs ayant même nature ou affinité, il y a un
8
oniques du bouddhisme : il faut éteindre le désir
individuel
, cause de l’erreur, des souffrances et de la mort, dissiper cet écran
9
hnouites et shivaïtes, en Inde, admettent une âme
individuelle
mais « obscurcie » par son union avec le corps. Elle doit tendre à se
10
corps. Elle doit tendre à se libérer du phénomène
individuel
au lieu que l’âme chrétienne doit le transfigurer, — d’où la « résurr
11
vers la personne singulière retombe au plan de l’
individuel
, du générique. Capté par l’instinct qu’il excite au-delà des exigence
12
r les névroses qui s’attaquent à nos « agrégats »
individuels
: le cosmos actuel tout entier semble résulter — selon leurs sages —
13
et fondue dans le Soi : « Tu es Cela ». Le drame
individuel
est noyé dans le Tout. Mais le Tout est le contraire du drame. Tous l
14
s éphémères, leur mort et transfiguration ; — à l’
individuel
aboli par une longue aspiration de l’Atman, le personnel éternisé par
15
le jusqu’au bout ! Pour lui la Réalité est dans l’
individuel
, et l’Être dans les raisons d’être des uniques. Or ce choix est celui