1 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
1 té, plus vaste, antérieure et supérieure à la vie individuelle . » Mais quelle est cette réalité ? Notre nature profonde ou la divini
2 rde : ce moi détesté, c’est la fatalité de l’être individuel , charnel, créé, et lié à toute la création. C’est par lui et à traver
2 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
3 à chaque humain, indépendamment de toute qualité individuelle , de toute classification légale dans la cité, donc de tout rapport de
4 ition de la conversion dans le plan des relations individuelles , nous disons même individualistes. Elle n’apparaît qu’au xiie siècle
5 e avec des notions grecques et romaines de mesure individuelle et d’organisation collective. Ces trois idées-forces, ces trois resso
3 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
6 les de Maîtres. Les rites sont familiaux, ou même individuels . Dans ce pays où les rues grouillent jusqu’au délire, où l’on multipl
7 e ou d’une profession. La variation, l’innovation individuelle ne sont pas vues, ou bien ne sont qu’erreurs. Le besoin d’être origin
8 ique représente aujourd’hui le monde des libertés individuelles , dans sa lutte contre la Russie qui représente les masses organisées.
4 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
9 re pardonner sa turbulence créatrice ou son génie individuel , en démontrant qu’il fait une œuvre utile au bien commun. Et c’est po