1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Tentatives de restauration d’une commune mesure
1  : des génies qui n’incarnent rien que leur refus individuel , des génies destructeurs de toute communauté, affirmateurs d’une véri
2 rs de toute communauté, affirmateurs d’une vérité individuelle antisociale, des prophètes sans message pour le peuple, sans grandeur
3 De Kierkegaard à Nietzsche, toutes ces angoisses individuelles ont porté témoignage en faveur de l’esprit contre l’abêtissement de l
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
4 ommune mesure donnant un sens aux moindres tâches individuelles , qu’elle situe dans un tout grandiose et colore ainsi d’héroïsme, écl
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
5 t de la Renaissance, à la montée de la conscience individuelle dans l’Europe du xvie siècle. Mais elle agit en sens inverse. Elle a
6 pas de sens pour nous. Elle ne sera pas non plus individuelle  : on ne peut pas ressusciter des mesures mortes. Je dis qu’elle sera
4 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
7 onne responsable, tel est le secret de l’angoisse individuelle et de la révolte des masses. Retour à la personne, tel est le sens de
8 ands problèmes sociaux est une question de morale individuelle . » L’originalité d’une morale individuelle apte à résoudre les confli
9 morale individuelle. » L’originalité d’une morale individuelle apte à résoudre les conflits sociaux se réduirait probablement aux ve
10 xcellence, acte qui part de limitations humaines, individuelles , mais pour les transcender, acte qui, dans l’instant fait communier l