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st celle des relations nécessaires entre l’esprit
individuel
, et l’espèce, maîtresse du corps. L’alternative que je viens d’indiqu
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pour Goethe, désormais, de se construire un ordre
individuel
aussi solide et organique que celui qui régit l’extérieur. Voilà le s
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. Et pourtant comment ne point sentir le précepte
individuel
, la leçon de sagesse intérieure qui se dégage de ses descriptions et
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he succombe parce qu’il s’est livré à son vertige
individuel
, rompant avec l’ordre social. Un Werther d’aujourd’hui, ce serait l’h
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ertige du social démesuré, rompant avec son ordre
individuel
. Le suicide de Maïakovski ou d’Essénine après une tentative sincère e