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re que Rimbaud2, mais je crois, dans leur habitus
individuel
bien plus que dans leur commune grandeur. Seule la croyance en une an
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de refuge, soit terrestre ou céleste, à leur vie
individuelle
, — à leur vie contre leur idée ; à leur vie malgré leur idée ; à leur
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la chair, autorité de la personne sur l’anarchie
individuelle
. C’est ici qu’on touche au mystère, sans lequel tout serait absurde :
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rd a su la dénoncer au plus intime de l’existence
individuelle
. Chaque fois que nous disons d’un de nos dieux qu’il est puissant, no
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es naïves de l’histoire (ou de sa propre histoire
individuelle
) mettaient dans la Révélation. Incapable d’y croire, il la refoule. E
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intime hiérarchie qui trahirait, dans ce complexe
individuel
la vraie personne. D’autant plus que certains détails, certaines allu
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té, plus vaste, antérieure et supérieure à la vie
individuelle
». Mais quelle est cette réalité ? Notre Nature profonde ou la Divini
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rde : ce moi détesté, c’est la fatalité de l’être
individuel
, charnel, créé, et lié à toute la création. C’est par lui et à traver