1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 aient sur tout essai d’innovation ou de variation individuelles  ; l’au-delà était tenu pour plus réel que l’ici-bas, dont il convenai
2 un Dieu personnel. L’idée de la « voie » ou « loi individuelle  » (Svadharma) semble rappeler l’idée de vocation personnelle, tandis
3 pose la question : que vaut un homme ? (un homme individuel , un exemplaire humain pris au hasard) qu’on obtient les réponses les
4 religieuse rend nulle et non avenue l’innovation individuelle , et que le but de la recherche humaine ne peut pas être le progrès ou
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
5 e. Apport chrétien. — La conversion — révolution individuelle — libère tout homme, noble ou esclave, des liens sacrés de la caste o
6 péril simultané : celui de la fuite vers le salut individuel , et celui de l’abandon au sacré collectif — maladie « grecque » et ma
7 s il s’agit de l’amener au maximum d’indépendance individuelle , c’est-à-dire de le préparer à vivre à sa façon. Dans la vie politiqu
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
8 atteintes toujours plus pénétrantes de la passion individuelle et collective, pourrait bien se révéler à l’analyse intime comme plus
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
9 salut et qu’il tienne lieu de but suprême. Succès individuel ou collectif d’ailleurs ; mais le premier sent la tricherie. 47. Lit
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
10 règles abstraites ou coutumières. Mais la morale individuelle reste sans prises sur un phénomène qui évolue au niveau des besoins c
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
11 contraire, dans tous les domaines, collectifs ou individuels , l’Évolution devient objet de science à la fois mesurable et formulab
12 ntité de biens consommables et du pouvoir d’achat individuel , le pays le plus progressiste est sans conteste les USA, l’un des plu
7 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
13 aisant que le christianisme pour l’homme et l’âme individuelle . Il ne s’accommode pas de l’opposition, vie du civisme, ni de l’espri