1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
1 existence du particulier, de l’irréductible, de l’ individuel . Ensuite parce qu’aux opinions reçues, on peut opposer des faits d’ex
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — La Révolution française et l’Europe
2 incipe de l’unité souveraine, de la confédération individuelle . Au nom — pour le moins paradoxal — de cette « confédération individ
3 our le moins paradoxal — de cette « confédération individuelle  », Cloots dépose en conclusion le Projet de décret suivant : La Con
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
4 criminels ou vicieux dans la poursuite d’intérêts individuels , se voient aussitôt sublimés et qualifiés de vertueux, dans la poursu
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
5 Un code de morale tant générale que nationale et individuelle , sera rédigé par les soins du grand parlement, pour être enseigné dan
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Goethe
6 s ou moins harmonieux les innombrables diversités individuelles .172 Il est très agréable qu’actuellement, en raison des relations ét
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
7 persécutions de son mode ancien et de ses formes individuelles présentes. On donna au fruit de la nouvelle façon de penser le nom de
8 rsellement humaines et valables, le goût du droit individuel et de la propriété collective, et le vigoureux sens civique. Que ni l
9 basés sur des coutumes positives et sur le droit individuel , au lieu d’être fondés sur la théorie purement spéculative d’une égal
10 e — sans une organisation se superposant à l’État individuel , sans une fédération de tous les États où chacun d’entre eux serait l
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
11 une idéologie, qui est beaucoup moins sa création individuelle que le résumé tourbillonnant des plus nobles illusions de son temps.
12 nir la protection du libre exercice de la mission individuelle à la certitude que tout est fait en vue du développement de la missio
13 non seulement communale et provinciale, mais même individuelle et nationale. Une conséquence de ce fait, c’est que, le système unita
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
14 , ne connaît dans ses larges masses ni cure d’âme individuelle , ni enseignement de la foi, ni institutions paroissiales au sens actu
15 fait incontestable que, par suite des diversités individuelles , nationales et liées au temps, la foi unique soit devenue très tôt la
16 n’est qu’en Occident que même dans la conscience individuelle la liberté se trouve liée à la liberté des conditions extérieures. Li
17 à l’évidence, n’est autre chose que la conscience individuelle sécularisée). Or si nous demandons à la société qu’elle respecte les
18 ’immanence et la transcendance, le collectif et l’ individuel , le service du groupe et l’anarchie libératrice, la sécurité et le ri
19 ompte du sol commun où a pris racine sa tradition individuelle . Et cette erreur n’est pas le monopole des écrivains : elle a miné et