1 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
1 ui sont chargées d’assurer à la fois les libertés individuelles et les devoirs communautaires. L’acceptation du temps et de l’histoi
2 critique frondeuse, l’acte civique, ou le risque individuel  ; pour le chrétien, c’est un état de grâce, une disposition intérieur
3 uite le phénomène de la passion dans les rapports individuels . La passion, c’est l’amour exalté non seulement au-delà de toute rais
4 smique et les grands gestes rituels. L’innovation individuelle ne peut être à leurs yeux qu’une erreur. Elle risquerait de faire rat
5 arts demeurent en dernière analyse des créations individuelles , et non des conventions sacrées. Ils imitent moins des rites millénai
6 endre un sens certain que par rapport à notre vie individuelle . Car le progrès à l’origine signifiait une libération, et, de nos jou
7 motion de l’esprit critique en vue de l’autonomie individuelle . Le dressage consistait dans un conditionnement des réflexes : il s’a
8 i symbolisent l’action d’un dieu. Toute variation individuelle , trahissant le tempérament ou la personnalité du danseur, devient alo
9 ctuelle ou morale) s’opposent le mépris des goûts individuels et le triomphe du conditionnement social dirigé par l’État. Et cepend
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte, suite et fin
10 e imbécile de « l’action directe », le banditisme individuel et sa traduction collective en « régimes d’ordre ». Chaos social qua